« Faire ainsi référence à la
Déclaration des droits de l’homme [comme le fait le Conseil d’Etat] est
un anachronisme, la notion de dignité humaine ne figure pas dans la
déclaration de 1789 », rappelle Serge Slama, maître de conférences en droit public à l’université d’Evry
Comme quoi tout ressort :
1/ Le référé au conseil d’état qui
permet une réunion d’urgence n’a pas été
appliqué depuis la derniere condamnation à la peine de
mort !!! Avant 1981 c’est sur, mais quand ?
2/ Le référé d’urgence au conseil d’état
concerne 17 Juges... ici un seul à signé.
"Le conseil d’Etat par définition et par nature est
collégial ( 17 juges ), cependant cette fois ci et c’est la
première fois de l’histoire DE FRANCE (ce sera d’ailleurs
cassé prochainement), il était composé de ...1
juge !!??? Oui vous avez bien lu 1 seul juge !"
cette "décision" remet en cause la jurisprudence
traditionnelle en matière de liberté d’expression qui
s’oppose à toute censure préventive et ce depuis le
début du siècle dernier.
3/ Le juge qui a rendu cette décision attentatoire aux
libertés les plus élémentaires et en violation
des droits de la défense s’appelle Bernard STIRN et qu’il
est, suivant wikipedia, membre du comité France-Israel.
Question : sachant que le reproche fait à Dieudonné,
censé justifier l’interdiction de ses spectacles, est d’être
antisioniste ou soi-disant antisémite, comment ce Juge peut-il
être considéré comme impartial au sens de la Cour
Européenne des droits de l’homme, surtout en ayant rendu une
décision contraire à la liberté d’expression ?
Valls se fout de la Cour européenne de justice car le temps
qu’elle se réunisse et le condamne, il aura eu le temps de
poursuivre et créditer sa maneouvre.
Il contraint la droite à se ranger derrière le
gouvernement au nom de l’antisémitisme. Par ce Front de
racistes républicain, il diabolise les élus de droite
qui seraient tentés par des alliances avec le FN.
Ce faisant, des millions de citoyens prennent conscience que les
gouvernements sont au service d’Israël qui cherche à
supprimer notre liberté d’expression afin d’obtenir de la
France un large soutien financier et militaire dans l’ethnocide
des palestiniens