"Ce que j’aime bien avec les pro-Fn
c’est que si on est pas d’accord avec eux on se fait traiter de
trouillard, bientôt de traitre à la patrie, j’en passe et des
meilleures… "
Vous avez mal lu.
"Je
crois qu’au contraire aller vers le parti déjà constitué depuis
longtemps, disposant déjà de nombreuses intentions de vote, c’est aller
vers la facilité, avec l’espoir du "on verra bien"..
Il y a aussi beaucoup d’impatience qui se cache derrière ça, avec un certain énervement à la clé."
Je l’ai dit : je n’attends que l’application du programme économico-social. Entre voter pour la facilité qui a une chance de redresser la barre et le néant, je choisis la facilité.
"Avoir
peur aussi qu’Asselineau pique des voix, les bras m’en tombent. C’est
donc que vous ne sous-estimez pas le bonhomme et que de ce fait, vous
avez.. la trouille.
Moi
je pense qu’il faut qu’Asselineau brise l’omerta médiatique et dévoile
les vrais enjeux de tout ça, ce que le FN ne faisait pas jusqu’ici, et
se met à faire un peu maintenant, talonné précisément par cette trouille
d’Asselineau.."
Il ne pique pas de voix (à supposer que 500 électeurs pèsent vraiment). Quand on fait de la politique politicienne, on prend des parts de marché à ceux qui sont sur le même segment. Quel intérêt ?
"Quand
même, le parti de Le Pen depuis qu’il existe n’a jamais attiré de
pointures politiques ni intellectuelles, c’est qu’il doit y avoir une
raison quelque part..."
Oh, vous devriez revoir votre histoire...