J’ai sauvé la vie d’un bidas, 30 km de l’hosto, il était dans le coma et s’est mis à dégueuler, il s’étouffait avec son vomis et l’infirmier avait oublié sa valise de canules !

.Sirène et gyrophare, je suis passé à 180 devant un radar, j’ai grillé 14 feux rouges .. Ils ont réussi à le réanimer aux urgences ..... c’était in extremis !
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Non pas que je n’aie pas une confiance aveugle en vos propos mais avez vous des preuves pour étayer vos dires ? Photos ? Copies de rapports ? Remerciements de la victime en question ?
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Ce n’est de loin pas mon genre, mais si je le souhaitais j’aurais tôt fait de me faire passer pour un Chuck Norris en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, mais chacun ici ne peut douter un seul instant de mon incapacité à me livrer à de telles pratiques de mythomane égocentrique breveté, n’est ce pas ? Aussi je ne révélerai pas le fait, par pudeur et modestie, que j’aie sauvé une ville entière dans un pays d’Afrique dont je tairais le nom pour des raisons évidentes de sécurité, en proie au scorbut généralisé en acheminant à temps et in extremis légumes et fruits frais ainsi que dîmposants stocks de vitamine C dans mes camions camouflés et fatigués par des heures de brousse, permettant ainsi aux secouristes sur place de réanimer la moitié de la population qui avait déjà sombré dans un coma inquiétant faute de ces aliments providentiels et pénurie de médicament.
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Je ne demande pas de médaille, cher P4. Mais je peux vous scanner la lettre de reconnaissance éternelle que le roi Mabu’Boko Bawantangué m’a transmise après avoir sauvé une partie de sa nombreuse famille, me faisant du même coup, roi de l’archipel sud d’une petite bourgade balnéaire de la côte ouest du sud Togo. Je vous parle d’un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître. Ha le bois d’ébène, souvenirs souvenirs.