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Commentaire de Miville

sur Général Pinatel : "BHL c'est une Nabilla qui s'occupe de politique étrangère" - independenza webtv ©


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Miville 5 décembre 2014 06:10

Premièrement, combien de fois faut-il vous le répéter, BHL n’est PAS juif. BHL n’est juif d’aucune manière, pas même celle de Martin Buber qui dit juif quiconque se dit juif (sincèrement) et est dit juif. Sa manie de parler en tant que juif aux quatre coins des médias mondialistes (et non même pas mondiaux) n’est pas le moindre des mensonges composant l’ensemble du personnage qu’il présente. Pour être juif au sens le plus commun permettant entre autres de faire son äliya il faut avoir eu une mère juive et/ou une bonne éducation religieuse juive avec les sacrements et rituels attenants. BHL n’a eu ni l’une ni l’autre. En fait c’est comme s’il n’avait pas eu de mère du tout, tellement il est sans-maman comme on dit chez nous en Haïti (dépourvu de toute humanité), et pas d’éducation du tout, tellement il est mal élevé.


BHL porte le patronyme Lévy, mais même là encore la plupart des Européens qui portent le nom Lévy ou Lévis ou Lewis ne sont pas juifs : beaucoup de hidalgos et d’aventuriers faits chevaliers au temps de la Renaissance se sont vus attribués ce titre en référence à la royauté davidique dont beaucoup de princes se réclamaient. Le père de qui il tient sa fortune n’avait jamais tenu à passer pour juif. Il est peu probable qu’il l’ait jamais été car sa mère est non-juive de très vieille souche alsacienne. Quand la mère est non-juive, l’éventuelle judéité du père compte pour zéro, le fils qui veut être juif doit alors refaire le long processus de noviciat et d’initiation à partir de zéro, et BHL n’a rien fait de tout cela.

BHL parle sans cesse de l’utilité du Talmud pour la perte de toute foi naïve, synonyme de fanatisme selon lui, il voudrait en conséquence l’imposer aux Musulmans sous une forme adaptée pour leur enlever la leur et en faire des sceptiques occidentaux d’un genre plus exotique, version mille et une nuits. C’est sans doute vrai en pratique que le Talmud est un livre éminemment dissolvant pour les fines facultés spirituelles, mais cette hérésie seule comme quoi le Talmud et plus généralement le type d’intelligence propre au fait d’être juif sert essentiellement à détacher l’âme de Dieu vaut normalement à son auteur d’être retranché du sein du peuple juif et considéré comme mort après célébration d’un enterrement, comme pour qui épouse une non-juive antisémite. BHL n’est juif ni par l’inné ni par l’acquis et même s’il l’avait été un jour par magie il ne le serait plus avec l’énormité de ses parti-pris théologiques, beaucoup de grands philosophes ont été déjuivés pour moins.

BHL n’est pas un vrai sioniste non plus, en Israël on ne le connaît généralement pas et on préfère ne pas trop le connaître si par mégarde on entend son nom, hormis peut-être dans le secteur là-bas très florissant du proxénétisme. BHL s’enveloppe de l’identité ultra-sioniste pour éviter que les théoriciens conspirationnistes que ne manque pas d’alerter un être d’une si transparente laideur physique et morale n’enquêtent plutôt sur sa vraie base de pouvoir qui fut toujours Marrakech, le Marrakech des réseaux de proxénétisme pédophile. Il connaît les politiciens et les médiaticiens familiers de ce lieu de refuge, en fait le gros du gratin de la rive gauche, dans le fond de leurs slips, et les fait chanter à loisir sa chanson à lui. D’où sa présence spectrale obligatoire en arrière-plan de tous les cabinets ministériels de ces messieurs. C’est aussi simple que ça. Pas besoin de Mossad pour tout ça. BHL n’a de compte à rendre qu’au diable. BHL ne pratique pas la Kabbale, mais la magie sexuelle maroquine comme on dit à Marrakech, la magie des petites culottes, la magie des chemises sensuellement grand ouvertes pour prendre toute l’énergie sur son passage. 

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