Imaginez vous à l’époque (peu importe laquelle mais avant notre an mille) les religions sont politéistes, donc ce ne sera pas pour le dieu que vous privilégiez que l’on viendra vous emmerder. En suite, dans la plus grande des majorité du temps l’humanité n’a pas dépassée plus de 1 milliard d’habitants .... prenez votre ville divisez sa population par 7.5 et vous verrez comme ça vous fera de l’air. Avec aussi peu de population, l’étranger qui passait n’était pas l’envahisseur, mais un autre "comme nous" qui apportait des nouvelles de l’autre bout du monde ... et dans certains coins reculé, c’était le "enfin une tête nouvelle", ou même le "enfin quelqu’un comme moi", voir "enfin du sang neuf".
Notre manière de vivre, nos moyens de transports, notre nombre monstrueusement disproportionné, ne peuvent pas nous permettre d’envisager comment vivaient exactement nos ancêtres, si vous voulez vous faire une idée, il faut regarder les peuplades primitives et leur comportement jusque dans les années 50. Les Inuits au Groenland , comme les bushmen du Kalahari étaient très accueillants avec l’étranger (c’est comme ça qu’on a pu les niquer), pourquoi, parce que sur un territoire grand comme deux fois la France au Groenland, durant la seconde guerre mondiale, la population a du être évacuée, ce qui faisait 8 personnes en tout. Regardez les Natifs d’amérique, avant de comprendre et de commencer à taper, elles sont venue en aide aux colons du may-flower.
Retirez vous 5 ans de tous contacte avec un humain et le premier que vous verrez, quelque soit sa couleur religion ethnie, vous lui tomberez dans les bras.
C’est leur rareté qui rend les choses précieuses et nous encourage à la tolérance, ça et les conditions de vie, plus nos conditions sont dures et plus on sait ce qu’entraide veut dire et plus l’autre alors prend de l’importance .

Nous sommes trop nombreux, trop bien nourris, vivons trop dans le confort ; c’est cela le "kali yuga".