Dans son désir de "gloire
démocratique", le pouvoir hollando-socialiste n’avait pas manqué de saluer
le départ de combattants non moins démocratiques qui, catalogués comme tels en
quittant la France, se retrouvèrent djihadistes en arrivant ..... au port. Se
lamenter à présent sur le nombre élevé de Français "séjournant" en
Syrie relève donc soit de l’hypocrisie soit d’une politique à tout le moins
"gribouillesque".
A présent, l’inénarrable
Fabius, "veut mobiliser en faveur des minorités du Moyen Orient" .
Faire mine de se préoccuper du "sauvetage" des minorités
menacées, qu’elles soient chrétiennes ou autres, après avoir clamé et réclamé,
pour complaire à qui l’on sait, qu’il
fallait abattre le régime du "boucher de Damas", relève soit du cynisme soit de l’inconséquence.
Est-il inconvenant de dire que
la fameuse "armée syrienne libre", pure création des officines
occidentales, armée qui a guerroyé au
demeurant davantage dans les médias que sur le champ de bataille, n’est qu’une
sorte de golem d’argile appelé à s’effondrer sans rémission ?
Voir un pyromane, crier au feu
et revêtir les habits du pompier est toujours un spectacle plus ahurissant que
plaisant, disait souvent ma mère-grand.