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Commentaire de Gaston Lagaffe

sur L'inévitable légalisation du cannabis


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Baston Labaffe Gaston Lagaffe 26 septembre 2015 22:43

@10joncte
Relax Max, cool Raoul, change pas d’main Sylvain, y’a pas d’lézards Lazar, y a pas de souci Henri, tranquille Emile, décompresse Rudolf Hess, je plante de la weed depuis 30 ans, je connais très modestement un peu le sujet sur le bout des ongles, ses avantages, ses inconvénients, son côté positif, son côté négatif qui dépend non pas de lui, car il n’est qu’un outil, mais de son utilisateur qui en abuse à raison ou par erreur, à bon dosage ou en excès, et les bienfaits ou méfaits qu’il peut tirer de la substance des chamans utilisée depuis des siècles par ceux qui ont la sagesse de penser que cette plante a bien des vertus que le zonard de base des pieds d’HLM ignore ou a oublié avant de s’en servir...

Tout, absolument tout, dans ce monde consumériste outrancier est à consommer avec modération et en toute connaissance de cause, ce qui implique, pour se faire, un travail et une connaissance de soi que le monde superficiel ne permet pas d’entrevoir, sauf si on s’en éloigne suffisemment pour avoir juste le luxe, de pouvoir réfléchir de manière sereine, détachée, hors émotion, afin d’acquérir une vision globale sur des évènements se précipitant dans une zone restreinte sur une période restreinte, qui a débouché sur cette époque singulière qui voit, sans doute pour la première fois de son histoire officielle connue, un organisme vivant, reniant le vivant au point de lui préférer de l’artificiel, tellement cet organisme vivant, qui se croit au firmament d’une évolution naturelle et bestiale, s’est renié au point de devenir lui même une marchandise artificielle au service de valeurs matérielles éphémères et inertes, un vivant qui tente de cadrer le vivant, le légiférer pour le soumettre à sa volonté, afin que ce vivant qui l’a fait naître, se plie à ses caprices car ce n’est point dieu qui créa l’homme à son image, mais bien l’homme qui a créé un dieu à son image pour se déculpabiliser de sa propre médiocrité, de sa condition animale, et le cloporte se mis à rêver qu’il tutoyait le divin, qu’il tuait le divin, qu’il prit la place du divin, mais il a oublié qu’il n’était qu’un cloporte. Tout ceci est le meilleur sketch jamais conçu par le plus tordu des humoriste humaniste. La réponse ? C’est 42...


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