CPolitiquement, le discours entre Asselineau et Laurent Louis est quasi le même, la différence, c’est qu’Asselineau s’en tient à parler de l’Europe et reste très discret sur le moyen orient.

La deuxième raison, c’est qu’Asselineau se garde bien de mettre en cause les vrais tenant du pouvoir politique, lui, il joue le jeu des marionnettes, contrairement à Laurent Louis qui parle du groupe Bildelberg et autres pouvoirs "aux culs des" personnalités politiques. Bref, c’est un "conspirationniste" qui dénonce le complot permanent (c’est un fait, pas une théorie, le conspirationnisme, consistant à cacher cette réalité ) de la domination économique par une minorité.

C’est qu’être souverainiste ne pose pas de problème, bien au contraire, c’est très bien car cela maintien la division entre les prolétaires économiques de tous les pays, quand les propriétaires économiques essaient de se mettre d’accord entre eux pour sanctuariser leur souveraineté économique et par là même, leur domination sociale.

Comprendre que pour les faibles d’esprit, il faut toujours lui désigner le marteau comme coupable de ses malheurs, surtout pas la main qui le tient !

Ainsi, on lui parle de l’état en lieu et place de l’appareil d’état, pour oublier le politique.

on lui parle des banques, et non des banquiers

on lui parle des multinationales et non des actionnaires.

On lui parle de sauver sa patrie et non la propriété économique.

On lui fait prendre sa propriété d’usage pour une propriété économique

on lui fait prendre l’intérêt de son petit pécule épargné, pour de l’intérêt d’un fond d’investissement de milliardaires. Bref, on lui fait croire que la grenouille est aussi grosse que le boeuf. Et pour l’aider à s’en convaincre, on l’incite à se persuader qu’il sera le prochain gagnant de l’heureux couillon.

etc...