@Heimskringla
Traumatisme de la seconde guerre mondiale ça vous dit quelque chose ou pas ?
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Bien
que cette germanophobie soit entretenue par une certaine communauté
organisée qui avait quelques griefs à formuler au régime nazi, ce dont
le professeur Saucisson tente vainement, de modérer en expliquant que
les chambres à biiiiiiiiiiip n’ont jamais existé afin de réhabiliter, au
prix de la sérénité de son existence tout entière consacrée à ce sujet
de $hoah, le génie allemand en matière de bricolage. Tu fais écouter du
Patrick Bruel à un allemand il te construit une sourdine pour couper le
sifflet à tous ces pseudos cantateurs yiddish.
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Autre
facteur déterminant dans la germanophobie entretenue volontairement pour
financer en sous main israël et lui fournir secrètement des sous marin
boches : qui a entendu au moins une fois dans sa vie Daniel Cohn-Bendit
ne peut éprouver qu’une haine tenace face à ce pays qui a, en plus,
l’outre cuidance de réussir économiquement là où nos élites sionisées et
enjuivées ont coulé la France du Maréchal depuis le plan Mar$hall et la
trahison de Jean Monnet, un maranne reconverti au christianisme pour
mieux le détruire de l’intérieur par les loges et les règles du billard à
trois bandes du B’naï Brith Guessérite de Paul Muad’Dib, l’arabe
dément, il faut le savoir, voyez, hein, comme tout s’organise de façon
articulée et cohérente. Et la réussite, les français n’aiment pas, c’est
dans leur logiciel de descendants de gaulois indisciplinés et
bagarreurs, ce qui fait leur charme, mais aussi leur faiblesse, comme
c’est bien expliqué dans la bande dessinée documentaire Astérix, hein,
il faut bien se rappeler tout ça et ne pas l’oublier pour comprendre la
chute de Rome, de la civilisation helléno-grecquo-romaine et la victoire
apparente de Jérusalem et des marchands du temple qui ont investi de
leur dictature sionisto-mamonique jusqu’à l’intérieur de nos poches et
de nos porte-monnaie, hein, en dernière instance, voyez ? C’est visible et démontré dans les analyses hystérico germanophobes et faussement judéo-ethnico-tribalo-communautaires d’un Emmanuel Todd, par exemple, voyez, hein. Et des frisées de crises d’apoplexie d’un Moscovici rien qu’en entendant le mot Allemagne, voyez, hein, les vieux réflexes paranoïdes de panique viscérales et retiliennes qu’ont emmagasiné ces gens là, voyez, hein, c’est vérifiable et vérifié ce que je dis, hein, quand on fait le boulot jusqu’au bout du rouleau de PQ. Valable pour les propos des Attali et autres Minc, remarquez le dominateurs commun des gens que je viens de citer, hein, si on veut être honnête intellectuellement.
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C’est
pourquoi la germanophobie affichée d’un dissident de papier comme
Pierre-Yves Rougeyron est le cache nez de frustrations bien plus
profondes et nationales qui trouvent leurs racines dans la jalousie pour le
modèle germanique qui a connu son apogée sous le national socialisme
hitlérien, dont le PATRON se revendique avec une nuance toutefois, un
national socialisme édulcoré, c’est à dire saupoudré d’un stalinisme
soviétique mâtiné de Chavezisme revendiqué pour moudre le grain d’un
national socialisme idéalisé et catholique dans une forme agnostique
inspirée de Vatican II pour nuancer la brutalité du conformisme
nécessaire à l’émancipation d’une société humaine mais robotisée tout en
permettant l’écoute assidue de musiques aussi diverse que le punk et le
jazz se mélangeant gaiement dans une cacophonie organisée du plus bel
effet que Purcelle n’aurait pas renié, voyez, hein, c’est simple comme
bonjour, le national socialisme à la française promu, distillé, concocté
et divulgué par E&R.
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Je finirais là dessus en dernière instance bien comprise de A à Z.
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Wunderbar ! Dirait un célèbre philosophe japonais.