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Commentaire de christophe nicolas

sur Les fourmis (effets des ondes de téléphone portable et reportages)


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christophe nicolas christophe nicolas 9 août 2016 15:20

N’ayez aucun doute que les agriculteurs auront suffisamment de poids pour demander des comptes sans ménagement à ceux qui font des expériences avec leur avenir. Vous pouvez consulter les pages de Jacques Henry, coup de gueule et complément.

 

Jacques Duran a d’excellentes pages pour les physiciens afin de comprendre l’effet de serre. Au départ, le problème a été pris de façon mécanistique et pas dans son ensemble ce qui est l’erreur des bœufs, pas au sens péjoratif mais au sens d’Elysée devant les sacrifier pour suivre Elie (c’est très figuratif). Les partisans du réchauffement climatique par le CO² ne comprennent pas pourquoi la troposphère ne se réchauffe pas comme prévu dans leurs modèles. Voila ce que je répond : les conditions aux limites sont fixées, quantité d’énergie reçue par la surface de la terre chauffée par les rayons solaires, température de l’espace. La chaleur est du mouvement mais en thermodynamique la densité de particule intervient également or le vide est froid mais il est également à pression nulle. En même temps que les particules de l’atmosphère chauffent, elles augmentent leur vitesse, elles augmentent en altitude ainsi la densité et la vitesse diminue ce qui donne une température plus basse ; en gros l’atmosphère gonfle au lieu de chauffer une couche intermédiaire. Il est très logique de faire intervenir le théorème du Viriel comme l’a fait Ferenc Miskolczi (cf § B). En physique statistique ça n’a pas trop de sens d’avoir une couche de gaz chaude stable entre deux couches froides, les particules vont tout de même à des centaines de m/s. Je pense que les climatologues ont travaillé comme en mécanique des fluides ou des milieux continus mais c’est réservé aux masses d’air qui ont des très grosses molécules comme de l’humidité ce qui est la définition d’un nuage ou d’un phénomène dépressionnaire. On retrouve un peu le conflit entre les mécaniciens et les métallurgistes et la difficulté de choisir la bonne approche pour un problème donné, les mécaniciens souhaitent toujours tout généraliser pour faire des prédictions et sortent parfois des domaines de validité, il faut alors regarder si le problème est bien posé.

 

Forcément, ce sont les particules les plus légères qui vont le plus vite et qui montent le plus facilement, ce sont donc H²O et CH4 qui vient des gaz de combustion des hydrocarbures et des pets de vache. Lorsqu’on monte en altitude, la densité des rayons cosmiques augmente ce qui fait que l’ionisation augmente et que les noyaux de condensations des nuages se fabriquent un peu plus haut ce qui favorise sans doute l’albédo et l’apparition des cumulo-nimbus donc ce mécanisme agirait comme un phénomène régulateur, les Belges qui comptent les jours d’orage appuyant mon point de vue très novateur qui dit que quand il fait plus chaud, il y a plus d’orages, une grande trouvaille ! C’est un phénomène très réactif car le cycle de la vapeur d’eau est de l’ordre de 10 jours si je ne m’abuse. Evidemment, le paramètre extérieur qu’est la densité des rayons cosmiques qui dépend de l’activité du soleil influe sur le climat et aussi l’orbite de la terre ce qui est déjà bien connu des climatologues.
 
En guise de conclusion, citons des extraits du travail de synthèse de Jacques Duran :

Je ne peux résister au plaisir de vous montrer cette courbe qui analyse le niveau du grand Lac Victoria entre 1896 et 2005 et démontre la corrélation frappante qui relie le niveau du lac (et donc des pluies) avec le nombre des taches solaires. La voici :

Et voici encore un résultat récent montrant une corrélation manifeste sur près de 1000 ans d’histoire entre l’intensité des rayons cosmiques et la température terrestre.

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