Je ne suis pas un adhérent du mouvement LREM ; je suis
un sympathisant du courant d’idées et aujourd’hui de pratiques
« micro-sociétales » que j’appelle de la citoyenneté
d’auto-gouvernance.
Ce n’est, pour ce qui me concerne, ni de la naiveté, ni du « boboisme » ;
mon parcours de vie et mon expérience tant syndicale que caritative assise sur
une expérience politique dans le sens noble du terme, et non pas sur une
pratique d’opportuniste parvenu de politicien ou de politicaille, comme il est
de règle chez une majorité, aujourd’hui et hier depuis plus de 4 décades, plaide pour d’autres authentiques postures de l’action socio-politique
De l’avènement de la présidence giscardienne dans la
première moitié des années 1970 du siècle dernier jusqu’à celle hollandienne
dans la deuxième moitié des années 2010 du présent siècle, on a été gavé
jusqu’à la nausée des alternantes
« drôles » de gouvernances « républicaine de
droite » et « socialiste » sur plus de quarante années ;
sans que les choses et les conditions de vie de la majorité des citoyens
français évoluent vers le mieux.
J’étais, parmi beaucoup d’autres citoyens issus de tous les
courants idéologiques et philosophiques, favorables et enthousiastes à l’essai
d’autre probable forme de gouvernance publique par des citoyens meilleurs
dans le don de soi pour un service public à vocation démocratique et à
fondement d’équité, tout en se fixant le but d’amélioration des conditions de
vie de la majorité de la population française.
Une gouvernance publique authentiquement démocratique et
citoyenne, qui soit
__ non-partisane mais aussi non oligarchique et non
pro-atlantiste, et par ricochet non pro-sioniste ; et
__véritablement ouverte à prendre à bras-le-corps les
problèmes des citoyens en vue de leur apporter des solutions de fond et non pas
de forme.
J’ai toujours exprimé ma sympathie pour ce courant
transpartisan et méso et méta-idéologique, mais avec une conscience éveillée.
J’ai toujours dit qu’on laisse un sursis de faveur à la
nouvelle présidence, et qu’on ne peut se prononcer que jusqu’à preuve du
contraire.
La preuve maintenant est attestée que c’est une présidence
d’immaturité intrinsèque, de la politique du spectacle en plus « médiocre », de
l’occupation pour la forme et non pour le fond, et d’obédience et de suivisme
des lobbies oligarchiques.