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Commentaire de Gaston Lagaffe

sur Pour les 500 ans de la Réforme protestante, sortie d'un livre de dialogues virils entre un protestant et un catholique


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Baston Labaffe Gaston Lagaffe 28 octobre 2017 21:40

Ouch... ça s’arrange pas dites moi hein Jean ? On vous donne toujours vos cachets, on vous traite bien au moins ? C’est triste un homme dans la détresse psychique comme ça qui s’exhibe pour nous faire partager ses pathologies, je vous plains, d’une certaine manière.
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Un livre destiné à tous publics écrit par de jeunes croyants dynamiques, qui ont mis 6 mois pour résoudre les conflits religieux séculaires entre deux fractions ennemies d’un même dogme. Vous avez raison, faut être ambitieux dans la vie.
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Ouais à vu de nez vous allez en vendre dix à vos potes réunis en comptant large. Encore raté, la énième tentative de Tatamis de devenir riche par la plume de son journaliste-écrivain-éditeur-rêveur-utopiste-lunatique-autiste, Jean, le bannis, le paria, l’opprimé, le rejeté, le Morandini destroyer, l’Ardisson délateur, le censuré par les merdias ? Heu... Non, disons que ce livre a peut être vocation d’intéresser 2 personnes et demies donc faut pas voir du complot partout non plus, soyons sérieux deux secondes, et oui, ce qui passionne les nouveaux convertis à des dogmes faisandés qui suintent largement la puanteur du sapin mort, sous nos latitudes, peut éventuellement dans une étude de marché effectuée en trois nanosecondes, concerner au pif et avec le compas dans l’oeil, disons, en étant optimiste, 0,00000000000000000000000000009 % de la population à tout caser, faut pas s’attendre à toucher le jackpot avec un best seller écrit à la va comme je te pousse entre deux types dont tout le monde se fout, ça s’appelle le principe de réalité, ou l’éternel retour du concret si cher à Soraël, à force de vouloir chercher l’originalité à tout prix sans en avoir les outils intellectuels, je ne voudrais pas faire mon rabat joie, Jean, mais c’est peine perdue, enfin, si ça vous amuse de tuer le temps comme ça, c’est votre $hoah après tout et vous n’êtes un danger, ni pour vous même, ni pour les autres, c’est déjà ça de pris, mais prenez bien vos pilules qu’on vous prescrit quand même, hein, sait on jamais... Oh, moi, c’est pour votre bien que je dis ça....


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