@pegase. On le fait presque, pour les sections d’un skiff de course : la surface mouillée doit être exactement de section semi-circulaire pour le poids de ce rameur là. Il me semble qu’ils n’ont pas le choix de la longueur, qui est réglementée. En pratique la résistance de vague est négligeable à ces finesses, ne reste que la résistance de frottement.
Pour le kayak en compétition, il y a des règles de jauge. J’ignore s’il y en a aussi en kayak de mer. Il me semble que notre compétiteur de Villeurbanne avait un six mètres. Ou 550 cm ? Pas une petite affaire à hisser sur le toit de la voiture.
Tiens, une question de similitude pour les allergiques :
Un navire assez lourd a une vitesse critique de vagues d’environ dix noeuds pour une longueur de flottaison d’environ 17,20 m.
Admiratif, vous en réalisez un modèle réduit à échelle 1/2. Quelle sera sa vitesse critique de vagues ?
Toujours en eau profonde, comparé à la taille du navire.
Dessiné par des Sénégalais, le Joola était optimisé pour diminuer la résistance de vagues et les coûts d’exploitation. Trop étroit et de plus usuellement surchargé, il a toujours donné de la bande Le 26 septembre 2002, il a emporté 1863 victimes dans son chavirage. Il aurait quand même dû être plus large, même si c’était plus cher en coût du mazout à la traversée...