Ce qui est intéressant au delà des absurdités prononcées de part et d’autre est la psychologie d’Elkabbach qui semble gouverné par des pulsions maladives en répétant hypnotiquement « alors, dans combien d’heures on intervient ? ». Sous couvert de commisération envers les "pauvres nenfants syriens", bien sûr. La question dans ces cas-là étant : se rend-il compte de ses actes ou est-ce un simple malade mental ? Ma réponse ici est probablement les deux, il ne peut qu’œuvrer quelle que soit l’abjection de la méthode pour les intérêts d’un pays depuis longtemps en guerre contre la Syrie.
"La fin justifie les moyens" est la méthode qui explique le simulacre grotesque que nous vivons. Cela risque de se retourner contre eux : ils sont tellement stupides qu’ils sont en train de perdre complètement l’opinion des citoyens qui, vivant dans le monde réel, ont un minimum de bon sens,.