@Garibaldi2 "Que vient faire l’islam dans cette histoire ?"
Les gangs sont des musulmans vivant à Telford et Rotherham, dans des villes devenues majoritairement musulmanes, et ne font que perpétuer et appliquer une tradition islamique vieille de 1400 ans.
Les populations chrétiennes sont traditionnellement décimées par des rapts, des razzia, comme c’est encore le cas aujourd’hui au Pakistan (chaque année, 700 femmes chrétiennes sont enlevées,
séquestrées, converties de force à l’islam et mariées à des musulmans,
parfois après avoir été violées), au Soudan ou en Égypte, pour satisfaire la capitation coranique.
L’empire islamique ottoman prélevait par exemple chaque année des enfants dans les familles chrétiennes, le dévchirmé, pour les réduire en esclavage et former de futurs jihadistes.
Pendant les conquêtes islamiques en Espagne, les califes prélevaient des esclaves parmi les populations chrétiennes :
"Le
prix d’un esclave dépendait de son âge, de son sexe, de sa race, et de
ses capacités. Les esclaves blanches, en particulier les blondes,
souvent capturées dans des raids menés sur les terres chrétiennes,
étaient les plus recherchées. En 912, pendant le règne de l’âge d’or du
Califat Omeyyades de Cordoue, le prix d’un esclave mâle noir était de
200 dirhams (pièces) d’argent. Une fille noire de Nubie étaient vendue
pour 300 dinars d’or. Une femme blanche sans éducation coûtait 1 000
dinars d’or. Une femme blanche capable de chanter, valait 14 000 dinars.
La
cour du Calife Abd-Al-Rahman III comptait 3 750 esclaves, un harem de 6
300 femmes, et son armée incluait 13 750 esclaves guerriers. »
Darío Fernández-Morera, « Le mythe du paradis andalou » p158-159