@Belenos
Bonjour,
Je penche pour votre théorie et rajouterais que l’interprétation cérébrale de notre vision environnementale est voilée par la pollution dogmatique. Pour être totalement claire, elle devrait suivre un processus de cheminement inverse ; d’abord être relevée au delà de l’horizon puis progressivement ramenée à soi, et non le contraire.