@Florian
Ca dépend du maitre aussi.
Très agréable la vie de maitre ici.
La pauvreté ici a oublié de faire un pause comme en Europe.
L’église y est toujours puissante tout comme les évangélistes.
Les pauvres aiment ça, une assurance par rapport à leur vie de merde. Un peu comme en France il y a 100 ans.
Bons collèges j’y paie des études. Je paie parce qu’un pauvre n’y a pas accès. Du moment qu’il sait lire et écrire c’est suffisant pour le pauvre.
Le collège de qualité n’est pas pour la caste des pauvres, c’est pour la caste des chefs.

Je n’ai rien contre les chefs, j’aide à les fabriquer. Sauf que contrairement aux us locaux je fais une passerelle entre les castes.
Vos chefs seront de la caste des chefs pour exploiter les pauvres. Ne dites pas le contraire, c’est depuis Constantin que c’est ainsi. Vous croyez que Clovis se serait convertit si on lui avait pas fait miroiter que le christianisme apportait la logistique pour transformer ses guerriers en serfs ?

Oui, il y a chefs et chefs.

Ah l’époque bénie où le curé plaçait la gamine chez le bougeois comme bonne et qui la réprimandait parce qu’elle avait aguiché le bourgeois ou son fils au point qui fallait la virer parce qu’elle était enceinte.

Je suis assez vieux pour avoir entendu des témoins directs de votre période bénie.

Votre monde et le monde style Vichy tel que d’autres dans votre genre proposent, ceux qui ont entendu des témoins directs ne sont pas trop chauds pour en voir le retour.

Plus trop dans les mémoires ces périodes bénies, on peut en refaire la promo. Surtout d’après la façon dont ça se déroule, du pauvre en France ça ne manquera pas d’ici quelques décennies.

Des alliés objectifs des nantis, toujours prêt pour ramasser quelques miettes qu’il vous laisseront. Sûr que vous paraitrez importants avec ces quelques miettes.

Le rôle de chef c’est pas pour vous, chefaillon sans plus.
Votre discours c’est le bon et le mauvais du pauvre selon Nietzche, mais votre fonctionnement c’est le bon et le mauvais de l’aristo selon Nietzche.
Pas aristots et pas pauvre, entre les deux, profitant des deux les premiers en flattant les seconds en exploitant pour le compte des premiers.