@Tartoquetsches
Vous savez cela ne
m’apprend rien qu’il y a des carriériste dans l’écologie il y
en a de partout comme il y en a de tout temps. Cela fait il de
l’écologie une cause qui n’est pas juste ? Bien sur que
non. Tout mouvement ou idéologie est pétrie de contradiction, ce
qui importe c’est que cette contradiction n’empêche pas une
cause d’être juste.
Comme je l’ai dit
sur un autre article« Le grand malheur vient du fait que nous
avons détaché la science tout comme la production de la
philosophie. Produire tout et surtout n’importe comment, du moment
que c’est vendu »
Il m’a pas fallu lire tout Descarte ou les écrits de Claude
Bernard pour me questionner sur la pertinence de la cause animal.
Comme sur la question du veganisme, qui a été inventé à la base
pas une personne proche de la paysannerie Donald
Watson 1944.
Les
anti-spéciste on voulu reprendre ce terme et l’associer à leurs
idéologies. Anti-spéciste qui a toujours
été vu comme un
ennemie idéologique à l’intérieur même
de la cause animal Française et a été
rejeté pour ses racines utilitaristes.
Elle
une illusion qui viendrait à
nous faire croire que les gens auraient des
préjugés à l’encontre des animaux, ce qui est faux d’une part
et d’autre part l’idéologie spéciste ne parle ni des raisons
économique et n’en a rien à faire de la biosphère.
Paul
Ariés fait ce même amalgame entre anti-spéciste et véganisme, un
peu d’histoire ne lui ferait pas de mal.
Le
veganisme est devenu une niche financière, par la production de
divers produit, il en devient même une mode. On deviendrait vegan
comme on deviendrait gothique. Cela en est de même pour l’écologie
par manque de fond tout cela finira par s’écrouler sur son propre
poids par manque de fond.
Pour
toute ces raisons devrais-je ne plus être vegan ? Bien sûr que non.
Le
veganisme tout comme l’écologie a été mis en place par le haut,
universitaire, carriériste, politique. Moi ce qui m’importe c’est
que toutes ces questions soit pris en mains par le plus grand nombre
pour aller du bas vers le haut.
Si
mes quelques commentaires y contribue c’est une bonne chose. Il
nous faut accompagner les nouvelles génération dans ce sens.
L’ancien qui accompagne le nouveau pour une véritable rupture et
non pas abolir ou être anti-capitaliste mais le dépasser.
Pris
entre une vision réactionnaire d’une part et les post-moderniste
d’autre par le travail est titanesque mais on y arrivera à n’en
pas douter.