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Commentaire de sls0

sur (Capsule temporelle) J- ? avant légalisation de la pédophilie - Derniers soubresauts politiques ?


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sls0 sls0 24 mai 2019 22:38

C’est vrai que cette loi n’est qu’un effet d’annonce et n’apporte rien.

Une vision justice :

Avec la montée qualitative assez rapide de la police scientifique pas mal d’innocents sont sorti de prison voir du couloir de la mort aux USA.

92% de ces innocents y étaient suite à témoignages.

Suite à cela il y a eu une multitude d’études scientifiques avec protocole faites par des psychologues. Résultat 16% des témoignages honnêtes sont fiables. Un témoignage sans preuve ne vaut plus grand chose pour un avocat, un juge d’instruction.

Ensuite il y a le doute, l’indice et la preuve, seul la preuve compte.

On comprend qu’il difficile de prouver le délit sans preuve et encore plus le crime.

Un juge d’instruction sans preuve sait que son dossier ne tiendra pas en assise. A des jurés vous sortez l’histoire des 16% de fiabilité et des 92% d’innocents en prison et que le doute doit profiter à l’accusé et les carottes sont cuites.

Il y a même des cas où des aveux ont été extorqués, maintenant revenir sur des aveux est possible.

Lors d’un interrogatoire, la faute est toujours possible voir naturelle. Un avocat qui relit le procès verbal regardera les questions posées, si c’est orienté, faute.

C’est humain, l’enquêteur s’il a de gros indices de culpabilité fera de l’orienté.

La preuve c’est direction assises, sans preuve le juge d’instruction est mal, des aveux c’est déjà pas mal.

On parle du viol, ça touche à l’émotionnel, si c’est un assassinat qui touche moins à l’émotionnel on sera plus sensible au fait qu’il y a pas de preuve. Ce sont deux crimes tout les deux.

Preuve de pénétration c’est un viol, pas de preuve au pire c’est une agression sexuelle. C’est logique et légal mais ça peut paraitre injuste.

Il y a quelques mois une avocate du barreau de Paris s’est vantée sur twiter de porter plainte pour agression sexuelle sur la partie adverse en cas de divorce. Ca destabilise la partie adverse soi-disant.

Les vraies victimes peuvent lui dire merci.

Avant de rentrer dans le vif du sujet maintenant l’enquêteur doit regarder s’il n’y a pas l’influence d’un avocat, du souvenir implanté par un psycothérapeute, un effet de mode, ect.. Une vrai victime pourrait douter d’elle même après ce préambule.


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