@maQiavel
Vous me présentez vos excuses, mais vous continuez sans rebondir sur mes propos.
Je vous pose deux questions.
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--------— Question n° 1
Chrono de l’incendie :
15 avril 22 h 50, le général Jean-Claude Gallet, annonce que les tours sont sauvées
16 avril 4 heures du matin : le lieutenant-colonel Gabriel Plus annonce que l’incendie est maîtrisé et partiellement éteint.
16 avril 9 h 50,
il indique que le feu est éteint.
15 avril, 23h14 :
Une enquête judiciaire a été ouverte
pour destruction involontaire par incendie, a indiqué le parquet de Paris. Elle
a été confiée à la Direction régionale de la police judiciaire.
Est-ce que cela vous semble normal, rationnel, honnête, crédible, sérieux, sensé, au choix, sans jouer tout le temps avec les mots, d’annoncer qu’un incendie est involontaire alors qu’il est encore en cours ?
------------— Question n°2
Fait n°1 : Je vous ai parlé du cas de l’enquêteur qui rapporte la preuve qu’un ouvrier a arraché les fils qui auraient -supposons, pour cet exemple que je vous indique, que cela ait été démontré entretemps- provoqué le court-circuit et l’incendie. Si l’enquête ne rapporte que cette preuve, alors l’ouvrier a été maladroit, n’a pas respecté les consignes de travail et c’est l’entreprise qui est fautive. l’inculpation est alors lancée, la justice fait son travail.
Fait n° 2 : Si l’enquêteur rapporte aussi que l’entreprise n’a pas été informée qu’il existait un système électrique et que les ouvriers pensaient travailler sur une toiture sans fils, alors cette fois ci, c’est l’administration qui est fautive. Ce qui change le coupable à interroger par la justice.
A ce moment, l’enquêteur a tout pouvoir pour rapporter le deuxième fait ou non (il peut très bien mentir en disant qu’il ne savait si d’autres lui rapporte le deuxième fait). Il peut avoir un intérêt personnel ou professionnel à ne pas rapporter le deuxième qui change le résultat de l’enquête. Ne voyez vous toujours pas qu’un enquêteur doit-être honnête un minimum pour garantir une enquête non faussée ?