Même sort pour Marcel Vervloessem, détective belge :
Les autorités belges ont essayé de reduire l’activiste flamand Marcel
Vervloesem au silence et d’étouffer l’affaire de Zandvoort, par le biais
des actions suivantes :
1 En amenant un pédocriminel et ses comparses à l’accuser d’avoir commis des actes de pédofilie pendant sa jeunesse.
2 En encourageant la presse (e.a. le groupe Corelio) de le clouer au
pilori sans relâche durant plus de dix ans en tant que ‘chasseur
autodéclaré de pédopornographie’, ‘abuseur d’enfants’ et ‘malade
mental’.
3 En traffiquant son dossier pénal et en lui imposant en 2006 une interdiction de tout contact avec la presse.
4 En faisant disparaître tous les témoignages à décharge de son dossier,
ainsi que les CD-ROMS de l’affaire Zandvoort, un fait qui a été
formellement reconnu par le Conseil Superieur pour la Justice.
5 En l’enfermant en prison et en permettant qu’on l’y torture et
maltraite de toutes le façons possibles et imaginables pourqu’il meure,
ce qui aurait tout à fait pu se produire à l’époque vu l’état déplorable
de sa santé qui avait nécessité des opérations chirurgicales lourdes.
6 En le mettant ensuite en liberté sous condition qu’il ne contacte pas
la presse, ni aucune organisation s’occupant de la lutte contre l’abus
sexuel d’enfants, ni ses amis de l’asbl Werkgroep Morkhoven.
7 En faisant publier le 3.12.10 un message dans le Nieuwsblad
(appartenant au groupe Corelio) annonçant faussement que Marcel
Vervloesem était pas seulement un ‘chasseur autodéclaré de
pédopornographie’, mais qu’il avait aussi été soupçonné d’extortion, et
qu’il aurait ‘rompu’ avec le Werkgroep Morkhoven (tandis que la vérité
est qu’il n’a jamais été accusé d’extortion et que c’est la Justice qui
lui a imposé l’interdiction de parler en publique et d’entretenir ses
contacts).
https://pedocriminel.blogspot.com/2011/12/marcel-vervloesem-juste.html