@Scalpa "Drôle de virus.
"
L’info que je trouve la plus intéressante est le texte posté par Aissam Chibane
Copie ci-dessous :
Le
Covid-19 nous a tous trompés, mais nous sommes peut-être en train de trouver
son secret.
Au cours
des 3 à 5 derniers jours, une montagne de publications est apparue à New York,
en Italie, en Espagne, etc. concernant le COVID-19 sur les caractéristiques des
patients qui tombent gravement malades.
Il n’y aurait
ni « pneumonie » ni SDRA. Du moins, pas le SDRA avec les protocoles et procédures
de traitement établis que nous connaissons. Les ventilateurs ne sont pas
seulement la mauvaise solution, mais l’intubation à haute pression pourrait en
fait causer plus de dommages qu’en son absence.
Les
dernières 48 heures ont vu une sorte de révélation : Le COVID-19 provoque une
hypoxie prolongée et progressive en se liant aux groupes hémiques de
l’hémoglobine dans les globules rouges. Les gens désaturent simplement et ceci
mène à des défaillances d’organes qui les tuent. Tous les dommages aux poumons
sur les scanners proviendraient de la libération de fer oxydatif par les hèmes,
ce qui submerge les défenses naturelles contre le stress oxydatif pulmonaire et
provoque cette belle opacité du verre dépoli toujours bilatérale dans les
poumons. Les patients revenant pour une ré hospitalisation des jours ou des
semaines après leur convalescence et souffrant d’une leucoencéphalopathie
post-hypoxique retardée renforcent la notion que les patients COVID-19
souffrent d’hypoxie malgré l’absence de signes de fatigue respiratoire ou
d’épuisement.
Les
globules rouges transportent l’oxygène des poumons vers tous les organes et le
reste du corps. Les globules rouges peuvent le faire grâce à l’hémoglobine, qui
est une protéine composée de quatre « hèmes ». Les hèmes ont un type spécial
d’ions de fer, qui est normalement assez toxique sous sa forme libre, enfermé
en son centre avec une porphyrine agissant comme son « récipient ». De cette
façon, l’ion fer peut être mis en cage et transporté en toute sécurité par
l’hémoglobine, mais utilisé pour se lier à l’oxygène lorsqu’il atteint les
poumons.
Lorsque
les globules rouges atteignent les alvéoles où se produisent tous les échanges
gazeux, ce petit ion fer bascule entre les états FE2 + et FE3 + et se lie à
l’oxygène, puis part livrer l’o2 ailleurs.
C’est là
qu’interviendrait lebCOVID-19. Ses glycoprotéines se lient à l’hème, et ce
faisant, l’ion fer oxydant spécial et toxique est « dissocié » et se déplace
librement tout seul. C’est mauvais pour deux raisons :
1) Sans
l’ion fer, l’hémoglobine ne peut plus se lier à l’oxygène. Une fois que toute
l’hémoglobine est altérée, le globule rouge devient inutile et ne fait que
courir avec le virus COVID-19 attaché à sa porphyrine. Tous ces contingents
inutiles qui ne livrent pas d’oxygène sont ce qui conduit à la désaturation.
C’est un peu comme un empoisonnement au monoxyde de carbone, dans lequel le CO
est lié à l’hémoglobine, ce qui la rend incapable de transporter l’oxygène.
Dans ces cas, les ventilateurs ne traitent pas la cause profonde ; les poumons
du patient ne se « fatiguent pas », ils pompent très bien. Les globules rouges ne
peuvent tout simplement pas transporter l’O2. Mais dans ce cas, contrairement à
l’intoxication au CO dans laquelle le CO peut éventuellement se dissocier,
l’hémoglobine affectée est définitivement privée de sa capacité à transporter
de l’oxygène car elle a perdu son ion fer. Le corps compense ce manque de
capacité de transport d’O2 en libérant par les reins des hormones comme
l’érythropoïétine, qui ordonnent à la moelle osseuse d’augmenter la production
de nouveaux globules rouges avec de l’hémoglobine fraîchement préparée et
pleinement fonctionnelle. C’est la raison pour laquelle on constate une
augmentation de l’hémoglobine et une diminution de la saturation en oxygène
dans le sang comme l’un des 3 principaux indicateurs pour savoir si le décès
approche.