@Simple citoyenne
Oui, les
autorités sanitaires des pays de l’OTAN se soutiennent les uns les autres pour
continuer et renforcer les décisions criminelles.
C’est quand
même paradoxal (ou pas) que les pays du Sud « en retard »
technologique et « peu démocratiques » aient accès libres aux médocs
qui soignent, car l’emprise des Big pharmas dans les rouages institutionnels de ces pays n’est pas complète.
En Otanie,
les décisions sont toujours en faveur des traitements les plus coûteux, avec
des études cliniques inachevées et effets secondaires mal mesurés (vaccins ARNm, remdesivir, bamlanivimab). Et
donc interdiction de ce qui est disponible, ne coûte pas cher, et qui est
facile à utiliser.