@MAZIG
Répond pas à
ce faquin, il ne faut jamais débattre avec l’extrême-droite, montrer aux fachos
qu’ils ont tort n’a aucun impact sur eux. J’ai zieuté maQ s’époumoner débattre
avec celui-là dans le vide en lui montrant par A + B qu’il déblatérait conneries
sur conneries mais ça glisse sur lui sans le moindre effet, il rebondit en sautant
du coq l’âne, sans aucune suite logique dans ses dires. Dire à quelqu’un
d’extrême-droite qu’il a tort revient à dire à un platiste qu’il a été démontré
que la Terre est ronde. Y dira pas “oups, j’ai fait erreur, j’arrête
immédiatement d’être platiste, dans ce cas”. Lol
Les
progressistes voient le débat comme une manière de trouver ensemble la vérité.
Ils croient qu’il suffit donc d’avoir raison pour gagner le débat. C’est
ignorer le fonctionnement de nos cerveaux émotionnels. L’extrême-droite a une
explication simple du monde. On peut parler de n’importe quoi : c’est la faute
de l’Islam. Le concept du bouc émissaire est consubstantiel à son logiciel. Elle
comprend très bien qu’il suffit de passer son temps à lancer des accusations ou
des trucs faux courts, sur un ton confiant de manière à générer en face de
longues justifications. Quand la personne a fini de se dépêtrer elle lance d’autres
trucs faux ou une autre accusation. Et ainsi de suite. Loi de Brandolini :
certaines bêtise prennent vingt secondes à dire, mais des heures à réfuter. Le
débat, comme la boxe, sous-entend qu’on est d’accord sur certaines règles.
L’une d’elle étant de ne pas volontairement dire des bêtises. Débattre avec
l’extrême-droite c comme vouloir faire un match de boxe avec quelqu’un qui
s’autorise l’utilisation d’un couteau.