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Commentaire de Gaspard Delanuit

sur Vidéo essentielle - une rescapée de l'holocauste nous alerte sur les dangers présents


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Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 25 avril 2021 12:43

@Et Hop !

"Les enfants ne vivent pas les évènements dramatiques de la même manière."

C’est fort possible, même si elle était en âge de comprendre que son père, lui, n’en est pas sorti vivant et que ce n’était pas exactement un camp de vacances ; et qu’elle a eu de longues années ensuite pour y réfléchir et comprendre ce qui s’était passé. Et alors ? De toute façon, elle ne vient pas actuellement pleurer sur son sort à propos d’événement passés mais nous alerter sur les dangers présents d’une dictature sanitaire (dangereuse pour toute l’humanité et non pour une communauté particulière).

Vera Sharav : "Oui, je suis une enfant qui a survécu à l’Holocauste. J’avais trois ans et demi, lorsque ma famille a été expulsée de notre maison en Roumanie et déportée dans un camp de concentration. Là-bas, mon père est mort d’une maladie infectieuse, le typhus. Je suis restée dans ce camp pendant à peu près trois ans et demi, et même si ce n’était pas un camp de la mort, la mort était toujours une menace, car il pouvait arriver chaque jour que l’on soit envoyé dans un camp de la mort.

C’était plus ou moins un camp de la famine. J’ai appris ce… ce qu’était la vie dans de telles circonstances, et ce que c’était que d’être un paria méprisé. Les enfants supportent bien plus que ce que les adultes imaginent. Les enfants observent beaucoup plus de choses que ce que de nombreux adultes imaginent. Je redoutais d’être séparée de ma mère, mon seul parent, et je ne peux pas vraiment me rendre compte aujourd’hui comment j’ai pu tenir pendant trois ans et demi dans ces conditions insoutenables, mais j’en suis là.

À UN MOMENT DONNÉ, J’AI FAIT QUELQUE CHOSE, QUE J’AI EN QUELQUE SORTE APPRIS À FAIRE À L’ÂGE DE SIX ANS… À DÉSOBÉIR À “L’AUTORITÉ”.

Je pense que c’est quelque chose qui m’a bien servi, en tant que militante engagée sur des questions que l’establishment, très puissant, ne veut en aucun cas voir approfondies.

L’expérimentation médicale… est l’une de ces zones d’ombre.

L’une des questions que les gens ne se posent pas vraiment est la suivante : à qui appartiennent les enfants qu’ils utilisent comme sujets humains pour tester de nouveaux médicaments et vaccins ? Qui sont-ils ? Quel parent, sain d’esprit, livrerait son enfant comme cobaye pour quelque chose qui pourrait être très dangereux ?

Personne ne se pose la question. Mais ce sont les enfants de ceux qui sont considérés par la société comme la classe inférieure.

Grâce… à de nombreuses recherches effectuées à l’âge adulte, j’ai appris que tant que nous ne nous considérerons pas les uns les autres comme une humanité appartenant à la même espèce, l’Holocauste pourrait se reproduire. La différence entre l’Holocauste et les autres génocides, est la participation active du corps médical. C’est ce qui fait la différence. Cela en fait… un crime complètement différent et, à mon avis, bien pire ! Certains des médecins ont en effet été condamnés pour crimes contre l’humanité. Mais il est vraiment effrayant de voir, que la mentalité, de l’establishment médical allemand, n’a jamais vraiment changé. Elle a infecté la profession médicale, notamment les institutions.

Actuellement, nous voyons que la médecine est utilisée, pour nous priver de nos droits fondamentaux et de notre liberté. Les responsables de la santé publique, même s’ils ont une formation médicale, ils ne sont pas toujours des médecins généralistes. Un médecin a juré, de ne pas faire de mal au patient avant tout. Les responsables de la santé publique sont des agents du gouvernement. Ce sur quoi ils sont censés se concentrer, s’appelle le “bien commun”. Le problème avec ça est, qu’est-ce que le bien commun ? Qui décide, de ce qu’est le bien commun ? Et s’ils ont tort et que cela nuit à l’individu ?

Les droits individuels découlent de la reconnaissance que les gens ont des droits, et ces droits ne nous sont pas donnés par les gouvernements. Ces droits sont inhérents à notre humanité. Et lorsque les scientifiques médicaux commencent à considérer les êtres humains comme… une simple matière biologique, ils sont assurés de faire un très grand mal, parce qu’ils ne respectent pas l’être humain en tant qu’individu.

L’eugénisme, a été la force motrice de l’holocauste nazi. L’eugénisme n’a jamais été éradiqué. Il continue à infester, l’establishment universitaire en particulier. C’est très difficile à comprendre, mais après l’Holocauste, après les procès des médecins de Nuremberg, une nouvelle espèce est apparue, appelée “bio-éthiciens”, les bio-éthiciens et la bioéthique est née au sein-même des institutions eugénistes…

En fait, la société eugénique américaine est le foyer de la “bioéthique”. Les bio-éthiciens, sont essentiellement, les laquais du gouvernement, et de l’industrie, de l’industrie médicale.

Ils donnent leur bénédiction, à des expérimentations et à des politiques de santé non éthiques. Ils sont en première ligne de cette pandémie, ce sont eux qui contribuent à formuler les politiques qui nous ont été imposées.

La science est utilisée, comme si elle était “sacrée”. Il n’y a rien de “sacré” dans la science ! La science n’est pas plus sacrée que les droits individuels de l’homme. Bien au contraire !

Aujourd’hui, la science est même très corrompue, par des intérêts particuliers, des intérêts particuliers très puissants.

Cela inclut l’industrie pharmaceutique, les gouvernements, et la méga fondation multi-milliardaire, qui est exemptée de taxe, mais donne donc des milliards de dollars, pour contrôler, la science, les journaux et les médias."

https://moneyrang.org/personne-ne-pourra-dire-je-ne-savais-pas


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