D’après ce que j’ai cru comprendre la dame avait fait une méta-analyse sur l’invermectine qui donnait un bon rapport bénéfice risque pour le médicament.
C’était une méta-analyse sur des études observationnelles à l’état de préprint.
Par la suite une autre méta-analyse faite cette fois ci sur des études plus sérieuses style randomnisées en double aveugle a invalidé sa méta-analyse, elle est vénère.
Hier j’ai regardé les analyses employées par la miss, c’est vrai que c’est difficile à les prendre en compte :
De l’observationnel.
Manque d’échantillons.
Des bras mal équilibrés.
Des protocoles non tenus.
Les hôpitaux universitaires de Genève ont fait une analyse de ces analyses, c’est sur eux que je me base pour mes remarques.
Eh oui, ce n’est pas france-soir ma base de connaissances.