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Commentaire de jjwaDal

sur Christian Vélot : « Ne vaccinons pas les enfants ! »


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jjwaDal 18 juin 2021 23:18

Ce ne serait pas la première fois qu’on faire dire à la science ce qu’elle ne sait pas et ne peut savoir. Se souvenir par ex que le postulat fondateur de la transgenèse était : "Un gène code pour la fabrication d’une seule protéine" . Il suffisait donc de trouver le gène codant pour la protéine "utile" et de mettre au point le procédé pour le transfert inter espèces et l’insertion.
Sauf qu’on ignorait alors les conséquences de l’épigénétique, que plus de 70% de nos propres gènes codent pour plus de 4 protéines et que forcément si on part du principe qu’une unique protéine est produite on vérifie sa présence et en l’absence de toxicité immédiate le végétal OGM est bon pour le plein champ... Une oeuvre d’apprentis-sorciers dans toute sa splendeur.
Ici on a des vaccins torchés en un peu plus de six mois pour un nouveau pathogène et de surcroît utilisant une nouvelle technologie de fabrication de vaccins et on se passe de tout recul temporel capable d’identifier des effets qui ne relèvent pas des effets secondaires immédiatement visibles.
L’argument du "fléau" (qui ne diminuera la population d’aucun pays d’un fragment de pourcent, élaguant la croissance de celle-ci ici et là) ne tient pas face à la prise de risque de vacciner massivement des populations.
On nous dit avec certitude que ce xénoARNm ne peut en aucun cas être rétrotranscrit en ADN et s’intégrer à notre génome. Une certitude qu’on aimerait voir documentée, vu que nos cellules peuvent être infectées par un rétrovirus, disposent indubitablement de rétrotransposons et qu’on a découvert très récemment que la "polymérase théta" (que nous fabriquons) est aussi capable de faire de l’ADN à partir d’ARN... Trois filières connues pour faire de l’ADN dans notre corps à partir d’ARN et rien de fâcheux ne saurait se produire. Parce qu’on le mérite ?...
Et si on fait une très mauvaise découverte après avoir vacciné plus d’un milliard de personnes ou tous nos gamins on fait quoi ?
Pourquoi jouer à la roulette russe avec un virus qui a tué en un an bien moins de français que le cancer en visant sélectivement majoritairement la fraction la plus âgée et vulnérable, en créant un risque d’ampleur inconnu pour notre avenir collectif ?
Ce qui est affolant est que nous allons le faire alors même que des traitements médicamenteux existent et d’autres sont en cours d’essais et que le système immunitaire de la majorité de la population mondiale est capable de tenir en échec ce virus.
Comme d’habitude on a plutôt intérêt à avoir de la chance. Mais à trop faire les cons, tôt ou tard on aura une mauvaise surprise.


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