@Patrick Samba
Si je puis me permettre, et dieu sait si je redis sans cesse que l’urgence, le vital, c’est l’arrêt immédiat de la vaccination, peut-être que Fouché n’est pas totalement convaincu de ça, ou bien en tant que médecin il s’exprime principalement sur le plan politique pour ne pas se faire virer... je ne sais pas.
Mais là où je le suis, c’est que j’ai idée que manifester est visiblement un bonheur pour les manifestants, et c’est précieux, plus qu’utile, indispensable à la santé, mais qu’il ne faut pas se bercer d’illusion, ce n’est pas en frappant les percus qu’on fera plier le gouvernement mondial, même s’il est si tristement

et pitoyablement représenté par notre micron en France !

Je ne sais pas si c’est ici ou en interne que je racontais que la société traditionnelle ( honnie par les progressistes) est basée sur la satisfaction des trois besoins essentiels de l’Homme :
 manger, dormir/ se réjouir, être lié au Tout
Le besoin spirituel dont le rôle était dévolu aux clergés et qui manque cruellement aujourd’hui dans nos sociétés dans lesquelles chacun le trouve où il peut, ou bien ne le cherche ni le trouve, donc manquant, crée un immense déséquilibre.
Je proposais donc que la lutte se fasse, en fonction des qualités et aspirations de chacun en
combattants, nourrisseurs, accueilleurs et réjouisseurs.
Je pense que Fouché se place dans la tête des gens du côté de la spiritualité, manquante. Et il a ce rôle, c’est très bien ; il n’est pas universel.
Quand on mesure la température ambiante, avec notre combat anti injection, on se sent bien seuls !
Et c’est vrai qu’aucune voix s’élève dans ce sens, en dehors des lieux d’information où l’on se nourrit !
Ne crachons pas sur les combattants de l’autre type !
Le premier pas du combat à mes yeux, c’est se reconnaître dans un but, s’accepter tels que nous sommes. Se déchirer n’arrange pas nos affaires... nous n’en sommes qu’au début, et si j’en crois les infos que je reçois, le coup de théâtre ne va pas tarder ! à ce moment-là, nous deviendrons opérationnels, qui que l’on soit dans ce combat.