@V_Parlier
J’ai retrouvé le rapport ou plutôt le livre à l’origine de ce rapport de 1/5. Il est de Corinne May-Chahal et Maria Herczog.
Les trois premières lignes sont : Selon les statistiques établies par les milieux autorisés, une importante
minorité d’enfants européens, soit 10 à 20 % d’entre eux, seraient victimes de violences sexuelles au cours de leur enfance.
10 à 20%, on a retenue les 20%.

Il y a aussi le critère de choix : L’abus sexuel d’enfant peut prendre diverses formes, telles que l’inceste,
la prostitution, la pornographie, le viol commis par une connaissance lors d’un rendez-vous, les violences sexuelles infligées par d’autres enfants et l’abus sexuel institutionnel, c’est-à-dire l’abus sexuel d’enfant
commis par des personnes travaillant ou vivant au sein de structures de substitution, d’éducation ou d’aide sociale. Tous ces types d’abus sont liés, dans la mesure où ils impliquent la participation d’enfants à un acte sexuel, mais l’emploi du terme même d’« abus sexuel d’enfant » pour les désigner tous peut prêter à confusion, puisque ces actes sont à bien des
égards différents, chacun d’eux nécessitant une réponse adaptée à son contexte.

Si on rajoute la pornographie qui est un abus* et les violences sexuelles d’autres enfants, je suis d’accord avec ce chiffre de 1/5. Ce sont des abus sexuels mais pas de la pédophilie.
Tout est dans la définition, c’est pour cela que je demandais le rapport d’origine.

Pour résumer : une fouchette de 10 à 20%, on prend les 20% et une définition avec des critères supplémentaires. Je suis d’accord avec ce chiffre mais pas d’accord avec l’interprétation qu’en fait Nigari. Il faut toujours contrôler la source, chose que font de moins en moins les journalistes.

*ça change les critères de normalité de l’enfant et comme ils imitent les grands ça fait du dégât.