@Norman Bates
Merci de votre intervention.
Je suis fatigué de voir que les banalités l’emportent sur les sujets graves.
Je ne savais pas que la France pouvait tomber si bas. L’Italie également fait dans le n’importe quoi. C’est vrai que ce pays donna dans le fascisme, ceci explique cela.
L’imposture est donc toujours
en marche
Au CERN à Genève, on a pu capturer de l’antimatière, c’est
à dire le « rien »
C’est néanmoins la matière qui a gagné et qui porte la vie.
Le seul intérêt du néant, scientifique,
politique, journalistique ou religieux c’est qu’il nous montre la
forme, la vie, l’animation. Ainsi l’imposteur macron, c’est le
doigt qui montre la Lune. Il se trouve que de nombreux égarés
contemplent le doigt sans observer le réel lunaire. Des bobos de
droite et de gauche, des enculturés dénaturés, des politicards de
nul part, des misérables humains sans repaire.
Si l’on se permettait d’être triviaux, sans aucune hésitation, « tout sauf Macron »
Voter, vivre ou aimer, c’est regarder le réel
lumineux et serein. Faut-il que l’être humain soit malade,
malheureux ou simplement égaré pour contempler l’illusion, voire
même l’invisible, mieux le néant.
Jésus et Marx
qui se ressemblent beaucoup, nous parlent de la même chose, de la
vie sacrale et du tout dans l’être, l’un disciple de Hegel, d’Epicure et Démocrite et du monde bouillonnant de l’existence, l’autre, penseur matinal de Judée, de l’amour et du monde mystérieux de l’essence. Marx évoque l’immanence capitaliste, qui préfigure le nouvel ordre mondial et Jésus du prince de ce monde, la version poétique et tragique. C’est ainsi que le vrai est devenu le faux
et inversement. La confusion est finement entretenue pour asservir l’humanité à la société de l’avoir.
La Grèce archaïque du 8e.au 4e.av. J.C, entre Homère et Socrate distille le monde de notre temps en mêlant poésie, mythologie, histoire et philosophie.
« Les
Grecs sans le Christ ne mènent à rien, plus exactement, la logique
grecque sans l’égalité de tous devant Dieu ne mène qu’à la
connaissance sans objet, à la science sans le progrès technique.
La
liberté sans l’égalité devant Dieu mène à l’esclavage des
plus faibles, et donc à la stagnation économique.
L’égalité
de tous devant Dieu sans la liberté individuelle grecque, conduit
finalement au dédain de la vie matérielle, au rabâchage des textes
sacrés, et donc à nouveau, à la stagnation économique. »(Charles
Gave, Un libéral nommé Jésus)
Je prends un peu d’altitude avec l’âge avec un certain plaisir.
Merci d’avoir eu la patience de me lire.
La chouette prend son envol au crépuscule nous dit Hegel