Moment d’anthologie,
pour moi, de 18:50 à 25:43 avec Patrick Grzanka, professeur d’université
en études du genre et de la race (quelque chose comme ça, je ne suis pas encore
à jour). Le texte de l’échange est parfait. Avec le point final à 1:30:26. L’université : le temple de la raison qui perd ses pédales cognitives.
Avant, dans
la vidéo, je ne comprenais pas : je me demandais si Matt Wash montait des
sketches avec ses interlocuteurs, s’ils n’étaient pas figurants d’une
fiction qu’il aurait construite.
Après, j’ai
continué, mais en luttant contre la nausée.
En fait le
principe est simple : une fabrication sémantique avec –phobe.
" Vous
n’aimez pas les transsexuels, vous avez quelque chose contre eux ?
- Heu…
- Vous êtes
transphobe ! ".
A partir de
là, tout se déploie et conditionne l’ensemble de société et ses aspects à
interdire toute opposition à l’envie d’un transsexuel car c’est le dénigrer,
l’oppresser, c’est transphobe. Et il faut éduquer toute la société au respect
de la transsexualité : un enfant joue à vouloir changer de sexe ?
Aller contre son imaginaire est transphobe.
-phobe est
le moyen sémantique et implacable d’un totalitarisme à cliquets sans retours et
indéfinis.
Bientôt en France,
sans doute…