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Commentaire de Ar zen

sur Morts sous protection sanitaire


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Ar zen 13 août 2022 09:15

@TchakTchak

copié-collé : "Et c’est de la spike souche Wuhan qu’on injecte, alors qu’on en est au variant omicron dans les contaminations naturelles."

Savez-vous que jamais un seul virus n’a été isolé ? Que jamais un seul virus n’a été photographié ? Un virus se mesure en nanomètres et les bactéries en micromètres.

Pour extraire les "séquences" ADN ou ARN des "virus" ont fait appel à l’informatique, comme on fait appel à l’informatique pour "imager" les virus.

La question centrale maintenant : Comment un laboratoire peut-il intervenir sur des virus que personne n’a jamais vus ? Comment peut-on faire faire des "gains de fonction" à quelque chose que seules des "recompositions" ou des "interprétations informatiques" donnent existence ? 

Il faut, avant tout chose, s’intéresser à la manière utilisée pour "extraire" le génome d’un "virus" et la manière utilisée pour interpréter son "image". On s’aperçoit que l’être humain est incapable de le faire et que l’on fait appel à des modèles informatiques pour cela. C’est simplement "de la théorie".

Les "virus" n’ont jamais tué personne. Ce sont les "sur-infections" bactériennes qui provoquent la mort du malade. Ceci est parfaitement établi. 

Et il serait grand temps de réfléchir aux effets monstrueux des "matières particulaires", macro-particules et nanoparticules, ces particules nocives et toxiques, présentent partout autour de nous dans une atmosphère polluée. Et il se trouve que les maladies respiratoires hivernales ont lieu lors des évènements "d’inversion thermique", lorsque ces matières particulaires ne peuvent pas être évacuées par le haut et augmentent le niveau de pollution. Et des "épidémies de maladies respiratoires" ont systématiquement lieu en présence d’une inversion thermique en hiver. 

Parce que ces matières particulaires, les scientifiques savent très exactement ce qu’elles provoquent comme maladies : 
 Des maladies cardiaques
 Des maladies respiratoires
 Du stress oxydatif
 De la détresse respiratoire
 Une coagulation augmentée
 Des thromboses.

Les organismes vivants ont développé des systèmes de détection des polluants environnementaux(dioxines, hydrocarbures,...) ; ce sont des récepteurs de xénobiotiques pour la plupart des facteurs de transcription. Ils détectent par liaison les polluants et activent la transcription d’enzymes qui conduisent à l’élimination de ces molécules.

Les HAP ( hydrocarbures aromatiques polycycliques) sont connus pour stimuler la réponse des cellules eucaryotes en activant le facteur de transcription récepteur d’hydrocarbure arylique (AhR), qui à son tour active l’expression de gènes cibles par la liaison de motifs consensus d’ADN spécifiques, l’élément de réponse xénobiotique (XRE) et l’élément non canonique élément de réponse xénobiotique (NC-XRE) Nous avons identifié de tels motifs dans la région régulatrice du gène ACE-2.

"Des expériences in vivo utilisant un modèle de souris ont clairement démontré que l’instillation de PM 2,5 (des matières particulaires inférieures à 2,5nm) dans les poumons induit une sur-expression de l’ACE-2, et que suite à une exposition persistante aux particules nocives, l’activité augmentée de l’ACE-2 induit une protection contre l’inflammation. .


Des investigations supplémentaires sont nécessaires pour confirmer que la pollution de l’air peut moduler l’expression de l’ACE-2 par l’activation de l’AhR, et la comparaison de l’expression de l’ACE-2 dans les voies respiratoires des personnes vivant dans des zones fortement polluées, par rapport aux personnes vivant dans des environnements plus sains, serait fondamentale."


Et l’on sait, par de nombreuses études, que les "virus coronavirus" pénètrent l’organisme par les récepteurs de l’ACE2 (l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2). Et les nanoparticules "polluantes" pénètrent également l’organisme par ces mêmes récepteurs de l’ACE2. Ainsi, mettre sur le dos d’un "virus" ce qui devrait être attribué à des nanoparticules polluantes peut détourner l’attention. Parce qu’il n’existe pas de vaccin contre les nanoparticules polluantes qui investissent l’organisme humain. Et l’on sait que c’est le "temps d’exposition" à ces matières particulaires qui est le plus préjudiciable à la santé. Et comme il se doit, une personne âgée a été exposée bien plus longtemps aux matières particulaires qu’une personne plus jeune. Et, en présence d’un système immunitaire diminué, les résultats sont catastrophiques dans la population âgée.


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