@Conférençovore
Pour faire changer la peur de
camp, c’est là que tout commence. Le système médiatico-politique ne peut que
produire du mensonge et de la malfaisance. Car il ne peut plus faire autrement.
Il ne peut recruter que des malveillants. Si des députés intègres et
intelligents sont rentrés à l’assemblée : ils ne peuvent que rester
isolés, ou ils sont obligés de participer aux idéologies dont le système
toxique a besoin pour être entretenu.
Les urnes, c’est fini,
le sketch dure depuis 40 ans, ce n’est que routine qui consolide le système. On
ne sait même pas si deux millions de voix ont disparu aux élections
présidentielles 2022. Car la possible victime n’a même pas posé la question.
Car la candidate n’a même pas envie d’être élue présidente. Car elle sait qu’elle ne pourra pas gouverner contre le système. Bref, c’est
fini, le système toxique marche trop bien, les cliquets sont trop nombreux,
solides, affinés. On ne peut plus rien faire d’autre que péter la machine.
Alors que devient une
rébellion ? Je ne sais pas, vous non plus. Mais péter la machine infernale, soulagera déjà. Cela
ferait des morts ? Sans doute. Le système produit déjà ses morts de toute
façon : les malades pas soignés, les faux vaccins qui tuent, la précarisation
du travail, l’inflation pour complaire à Washington qui a besoin de détruire la Russie, la destruction volontaire
des artisans, PME, etc… Et ce système ne peut que produire de plus en plus de
morts.
Mais une rébellion, c’est
une tragédie qui reprend, qui réveille tout le monde, permet de reprendre
possession du politique, ouvre des choix et des possibles. Est-ce que ça peut
être pire ? Le pire est déjà là de toute façon.
Et j’avoue que le
couplet permanent sur l’éducation des masses me fatigue. Aux réferendums de
Maastricht, et du TCE, ce sont les ouvriers, paysans, professions
intermédiaires qui ont voté pour garder le pays et la capacité à se gouverner.
Ce sont les CSP + qui ont voté la vente du pays à l’UE et au fric.