@Conférençovore
Ils ont le
RN, LFI, Reconquête, DLF, les communistes, trotskistes, écolos, etc.
C’est le supermarché de la
consommation politique. Et l’attrape couillon.
Les Russes ont aussi qqes
alternatives (sauf les trotskystes, ils ont gardé leur côté stalinien voire
ultra-nationaliste du temps des tsars).
Un attrape couillon car ici et
là-bas, on est dans un système qui a ses propres contraintes, qui est assez
rigides, où les « états profonds » battent la mesure.
Pour changer de politique, ici
et là-bas (en Russie), il faudrait en passer par une vraie révolution. C’est d’ailleurs
l’objectif des USA pour la Russie : changement radical de pouvoir (pas par
les urnes, mais par un truc genre Maïdan) ou éclatement du pays (2ème
étape suite à l’éclatement de l’URSS).
Eh bien chez nous c’est la
même chose : un vrai changement suppose une sorte de révolution. Un
marqueur serait la sortie de l’euro et de l’OTAN. On notera qu’aucun parti ne
réclame ces deux sorties (sauf Asselineau mais il est au niveau zéro ou 1%).
Cette ribambelle d’offre de
partis, c’est bien une couillonnade néo-libérale, la réalité politique est
ailleurs.