Merci @ l’auteur pour le partage.
Vu le ton du Président russe dès le début, ce n’était pas une « maskirovka. »
Le patron de « Wagner » fait probablement partie, à sa façon, de ce que les russes appellent la 6ème colonne.
C’est à dire ceux estimant que V. Poutine et son
staff sont trop timorés avec les ukrainiens, qu’il faut y aller à la
U$, TU-22M à 6000 m d’altitude et « karpet bombing » au sol jusqu’à ce que
plus rien ne bouge, militaires comme civils, néonazis ou non, à l’instar de ce que les habituels et impunis criminels de guerre ont fait à Falloujah en Irak, ce que les dirigeants russes refusent catégoriquement et cela est tout à leur honneur.
L’ancien taulard pour, entre autres "exploits", agression d’une femme
dans la rue pour lui piquer ses boucles d’oreilles et. . . Ses bottes !
Considère manifestement ses "employés", dont bon nombre sont des droits communs,
comme sa propriété privée.
Le fait que l’armée russe, leur mission à Artiomovsk terminée, embauche "ses" précieux
combattants, si chèrement aguerris, en les intégrant contractuellement à
ses effectifs réguliers, lui a fait péter les plombs.
E. Prigojine a fait donc en sorte de le manifester à sa manière,
c’est a dire avec une grossièreté le disputant à l’illégalité, mais cela
ne reste qu’un coup de pied de l’âne, vraiment pas de quoi tirer des
plans sur la comète Wagner, encore moins faire dérailler ou même freiner la locomotive russe vers sa
destination : Neutralisation et démilitarisation, donc dénazification et désotanisation,
de l’ex Ukraine telle que constituée après dissolution de la R.S.S.U.
Par ailleurs et sous toutes réserves, il semblerait que
E. Prigojine partagerait avec le pianiste à queue les mêmes origines
confessionnelles, ceci pourrait aussi expliquer cela, du moins spectaculairement. . .