Apolline
et Manu dans un dialogue de sourds.
Elle
ne comprend pas ce qu’il dit et cherche par quel bout le prendre, et ne trouve
pas.
Elle
a beau incliner sa tête à gauche, puis à droite, le regard en coin de droite
puis de gauche, ça ne le fait pas.
Elle
comprend quand même que Manu n’est pas vraiment dans la ligne et elle tente de
mettre en cause le « traitre » un peu crépusculaire. Manu esquive l’attaque
en se positionnant dans son livre comme « chercheur », pas comme "citoyen".
Manu
traite de la longue durée, de l’importance et du rôle des religions, du
spirituel, de la décadence, d’une Europe émancipée des USA, d’une Russie qu’on
ne comprend pas et réciproquement. Du Chinois pour nos médias. Pauvre Apolline.