Tout le régime de Kiev est bâti sur l’utopie de la victoire militaire contre les Russes depuis le Maïdan, c’est le credo de cette révolution de palais pilotée par l’occident en instrumentalisant les forces obscures de l’Ukraine. En cela, ils sont les dignes héritiers de la mentalité nazi.
Il leur fallait absolument un sucés, il sont allés le prendre contre des villageois en perçant la frontière par surprise, chose aisée les premiers jours si l’attaque a été bien dissimulée car une bonne défense n’est pas en ligne le long de la frontière mais échelonnée en retrait.
Il ne faut jamais sous-estimer la mentalité au profit de la pensée rationnelle, car c’est cette première qui pilote cette dernière dans les fins de règne.
La raison de cette attaque est que Kiev a une mentalité de nazi et qu’un nazi préfère attaquer jusqu’à son anéantissement plutôt que de défendre et négocier. Hitler était conquérant jusque dans son bunker en 1945 sinon la folie l’aurait pris. La réaction de Kiev et de l’occident ne se comprend désormais que comme une tentative d’échapper à la folie puisque la repentance et la contrition ne font pas partie du monde des nazis et des mondialistes.
Le soldat Ukrainien est forcément plus pragmatique, survie oblige, il se fait prendre en photo truquée ou avant de déguerpir devant un lieu avancé pour satisfaire les objectifs impossibles des grands chefs de Kiev, ce qui fait que leur vision est toujours très biaisée.
En attaquant le sol Russe, la Russie peut mobiliser les appelés du contingent si nécessaire, condition siné-qua-non pour prendre des grandes villes donc cette attaque est stratégiquement une erreur de la part de Kiev, sauf à vouloir élargir le conflit, mais ce ne sera sans doute pas utile car aucun régime ne survit à une guerre qu’il a voulu et perdu. N’oublions pas que ni Zelensky, ni la Rada ne sont actuellement légitimes, que l’opposition politique a été étouffée, que Kiev est sous perfusion de l’occident donc on peut dire que l’état Kievien est de facto décédé, et l’occident en burn-out.