Quel que soit le pays et l’élu (la victoire de K. Harris n’aurait rien changé sur le fond), le divertissement des élections présidentielles sert à continuer de faire croire au peuple, au travers d’un « suffrage universel passionnel », qu’il se gouverne lui-même. Et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible.
La vérité est ailleurs : En hâtant le chaos et l’effondrement de l’Empire Américain, Donald Trump (à l’instar de « l’agent » oligarchique, Gorbatchev dans l’ex-URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City », cet épicentre du séisme instigateur du « Nouvel Ordre Mondial » (Wall Street n’est qu’une succursale de la City et l’a toujours été), car le seul objectif des mondialistes est l’avènement d’un gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
NB : À propos de son homologue Poutine, l’autre « Superhéros » d’une dissidence peut-être un peu trop naïve, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ».
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