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Étirév

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    Étirév 23 juin 13:15

    « Je veux être très clair : ne vous inquiétez pas des pressions américaines sur Israël, NOUS, le peuple juif, contrôlons l’Amérique et les Américains le savent. » (Aveu public fait par Ariel Sharon, le 3 octobre 2001, et rapporté par le mensuel « Monde et Vie » dans son numéro de mai 2002).
    « NOUS » : Est-ce « Le lobby qui n’existe pas », dixit (ironiquement) François Mitterrand ?
    « NOUS » : Est-ce ceux qui « usurpent la qualité de Juifs, les menteurs » d’après Saint Jean dans l’Apocalypse ?
    « NOUS » : Est-ce ceux contre lesquels Isaïe (3:12) mettait en garde lorsqu’elle disait : « Oh, mon peuple ! Ceux qui vous guident vous égarent. » (Isaïe 3:12) ?
    NB : Julius Évola disait qu’une des tactiques favorites de la « guerre occulte » est d’attirer « toute l’attention de l’adversaire sur des éléments qui ne sont que partiellement ou secondairement responsables » de la Subversion. « Toute la réaction se décharge alors sur ces éléments, devenus des boucs émissaires », ou, comme il l’écrit ailleurs, des « faux objectifs ». C’est notamment sous cet angle, conclu-t-il, qu’il faut analyser l’erreur tenace de ceux qu’obsède un prétendu « complot judéo-maçonnique ».
    Nuançons tout de même ces propos avec ceux de René Guénon, qui écrit (dans « La Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage ») : « On a parfois reproché à certains de vouloir trouver partout l’influence des Juifs ; il ne faudrait peut-être pas la voir d’une façon exclusive, mais il y en a d’autres qui, tombant dans un excès contraire, ne veulent la voir nulle part. Il y aurait, du reste, ajoute-t-il, une étude bien curieuse à faire sur les raisons pour lesquelles le juif, quand il est infidèle à sa tradition, devient plus facilement qu’un autre l’instrument des « influences » qui président à la déviation moderne ; ce serait là, en quelque sorte, l’envers de la « mission des juifs », et cela pourrait peut-être mener assez loin… ».
    Rappelons que le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
    « Mille ans avant la naissance de l’actuel État d’Israël, un Royaume juif existait sur les marches orientales de l’Europe, à cheval sur les plaines baignées par le Don et la Volga … »
    Ainsi commence le célèbre ouvrage de l’auteur juif américain Kevin Alan Brook : « The Jews of Khazaria », sorti en 1999.
    Le débarquement des Khazars dans l’histoire contemporaine a pour origine lointaine la conversion de ce royaume au judaïsme vers l’an 740. Le récit des circonstances de cette conversion décidée par le roi Khazar de l’époque (Bulan) est décrit avec précision dans le roman historique passionnant, « La treizième tribu » d’Arthur Koestler (publié en 1976), qui repose néanmoins sur des données scientifiques très solides et reconnues comme telles. Également, l’ouvrage de Kevin Alan Brook est une somme qui constitue avec celui de Douglas M. Dunlop, « The History of the Jewish Khazars » (1954) l’ensemble le plus fiable et le plus objectif de la multitude de travaux, dans toutes les langues de la terre, que le mystérieux royaume Khazar a inspiré depuis un siècle à une armée d’universitaires. On peut y ajouter la traduction de l’ancien « The Kuzari : In Defense of the Despised Faith » (1140) par Yehuda Halevi et une recherche plus récente « L’Empire Khazar VIIe-XIe siècle » (2005) par le duo Jacques Piatigorsky et Jacques Sapir.
    Le mystérieux royaume Khazar a influencé notre monde moderne d’une manière dont nous n’avons pas toujours conscience.
    Toujours est-il que la « question khazare » a opéré un débarquement tonitruant dans l’histoire contemporaine avec la polémique liée à la colonisation de la Palestine à partir de la fin du XIXe siècle. En effet, à partir de cette période, qui correspond à l’apogée de tous les mouvements colonisateurs européens, d’immenses cohortes de juifs dits « Ashkenazim », originaires des régions autrefois occupées par les tribus de l’empire Khazar tardivement converties au Judaïsme, ont déferlé sur une Palestine miraculeusement métamorphosée en « terre de leurs ancêtres ». Ils en revendiquaient la propriété au nom de la connaissance qu’ils possédaient par « ouï-dire » de l’existence d’un acte notarié dressé entre un « extra-terrestre » et d’hypothétiques ancêtres qui auraient été « méchamment » privés de leur héritage par de cruels centurions romains.
    Profitons-en pour rappeler que TOUS les premiers ministres du nouvel Etat surgi en terre palestinienne en 1948 sont originaires d’Europe orientale et des régions qui correspondent à l’ex-empire Khazar : David Ben Gourion (Pologne), Moshé Sharett (Ukraine), Levi Eshkol (Ukraine), Ygal Allon (famille roumaine), Golda Meir (Ukraine), Yitzhak Rabin (parents ukrainiens), Menahem Begin (Biélorussie), Yitzhak Shamir (Biélorussie), Shimon Peres (Biélorussie), Ehud Barak (parents lituaniens), Ariel Sharon (parents biélorusses), Ehud Olmert (père russe) et Benyamin Netanyahou (grand-père lituanien).
    LIEN







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    Étirév 17 juin 10:51

    L’influence directe de la musique sur le corps et sur l’âme, indirecte sur l’esprit, est indéniable. Ses composantes : son, rythme, mélodie, harmonie ne sont pas neutres. Non seulement la musique nous met en communication avec des plans de réalités physico-psychiques intérieurs ou extérieurs à nous-mêmes, mais encore est-elle de nature à modifier plus ou moins profondément et durablement notre propre rapport au monde. Nous sommes modifiés, mais inversement nous modifions notre environnement. A telle musique correspondra telle individualité, telle société, telle vision de l’univers, selon une loi d’interaction inévitable et rigoureuse. Si la musique est le support d’une réalité extérieure au sujet qui, de cette manière, se manifeste à lui, elle est tout autant le support médiatisant le sujet vers cette réalité. Comme toute forme d’art, comprise dans son acception traditionnelle, donc normale, la musique est d’abord porteuse de sens, secondairement de plaisir, elle est expression du divin tout autant que moyen pour s’élever à lui.
    Mais il convient d’ajouter que ce qui est possible selon une voie bénéfique, peut également être opéré selon une voie maléfique conduisant au monde subtil inférieur, lequel est précisément celui que vise et atteint la musique Rock.
    Avec le Rock’n’ Roll, nous avons affaire à une entreprise véritablement démoniaque jouant un rôle de support quasi contre-iniatique, ayant engagé un processus d’ouverture en direction de forces infra-humaines, ce que ne soupçonnent guère ceux qui s’y adonnent, ni non plus ceux qui n’y ont vu qu’une « mode » parmi d’autres, aveugles aux ravages provoqués dans la texture psycho-mentale des êtres.
    Par cette ouverture sur le sous-monde grouillant de l’infra-conscient, le Rock permet l’intrusion dans notre monde, par ailleurs dépourvu de toute contrepartie authentiquement spirituelle, d’influences négatives, sinistres, liées au sexe, à la violence gratuite, à la drogue, aux pulsions les plus basses ; provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
    Il est frappant que l’humanité exerce de plus en plus son action exploitatrice dans les lieux « souterrains » qui sont symboliquement le domaine des influences maléfiques. L’extraction des minerais, du pétrole, des nodules sous-marins, mais aussi l’exhumation de sites archéologiques, les fouilles paléontologiques, toutes ces choses enfouies par le temps mais que l’homme moderne s’acharne à ramener au jour, contribuent, elles aussi, à l’infiltration des forces négatives.
    L’infection sonore entre dans ce plan subversif et ce qui est digne également de remarque c’est le rapport existant entre les lieux « souterrains » ou de morphologie souterraine et ceux où se regroupent de préférence les fidèles du pseudo-culte Rock : caves, carrières, discothèques.
    Admis, comme principe, la propension naturelle de tout être sain à rechercher les conditions lui permettant de recouvrer à terme son unité perdue, son harmonie d’homme véritable, d’être enfin pacifié dans sa structure psycho-mentale, le Rock apparaît alors comme générateur de dysharmonie, de chaos et de dépersonnalisation, favorisant chez des êtres déjà psychologiquement fragiles, dénués de toute assise morale et de structure intellectuelle, une dépendance irrémédiable à l’égard de leurs « Vasanas » (latences subliminales, souvenirs subconscients, basses pulsions).
    Ce qui nous apparaît ici comme l’évidence même, c’est que la musique Rock, plus que toute autre musique moderne, a une origine sinistre et constitue un redoutable support pour les influences subversives à l’œuvre dans le monde moderne. Ce qu’a en vue ce mode de subversion, c’est la dissolution de tout ce qui subsiste encore de religion, et de cultures traditionnelles.
    Dans une telle ambiance et devant une société en si complète décomposition, dépourvue de sens, de raison d’être et d’avenir, la jeunesse, toutes catégories sociales confondues, de surcroit sans racines, inconsciente mais décidée à vivre l’instant présent avec le maximum d’intensité et de jouissance, ne pouvait, dans le refus de toute autorité religieuse et sociale devenues parfaitement incrédibles, que servir de magma informe d’où allait naître, entre autres, la subversion musicale, redoutable machine pour abrutir et déréaliser les êtres.
    Depuis plus de soixante-dix ans, une puissante révolution a pris forme sans parti politique, sans discours électoraux, et même sans manifeste idéologique pour énoncer les buts et objectifs des nouveaux révolutionnaires.
    Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une profonde révolution sociale, économique, morale et culturelle a choisi de proclamer son radicalisme par la musique, les Chansons et les stars du Rock and Roll.
    Au départ, tout cela n’a pas été pris au sérieux, car tous s’imaginaient que c’était une mode de plus qui finirait bien par passer comme l’avaient déjà fait le Charleston, le Boogie-Woogie et le Twist. Toutefois, le phénomène socio-culturel du Rock and Roll, apparu au début des années 50, allait déferler sur le monde tel une vague de fond mêlée de boue, de scories, de sang et de sacrifices humains.
    Soixante-dix ans plus tard, la musique Rock a évolué jusqu’à devenir la plus puissante révolution des corps, des esprits et des cœurs jamais sortie des entrailles de l’Enfer.
    « Si tu veux vaincre ton ennemi, élève ses enfants », dit un proverbe oriental.
    « Bite » Génération et les Adversaires de l’Harmonie



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