"Pas de pays sans paysans", pertinente formule qui inversée donne une piste de réflexion à la question du titre de l’article, car c’est en fait de la souveraineté du pays, voire la destruction de la nation française, du moins ce qui en reste, dont il est fondamentalement question.
L’autosuffisance alimentaire, qualitative et quantitative n’étant qu’un des éléments composant ladite indépendance, historiquement le premier mais aussi le dernier, vu que pour l’industrie la destruction est quasiment terminée.
Maximilien de Béthune duc de Sully ne cessait de le répéter déjà au XVII siècle : "Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou"
La véritable question est donc qui veut détruire la nation française, ou plutôt finir le boulot avec l’agriculture et pourquoi ?. . .