@Gaspard Delanuit
merci pour la précision qui confirme ce que je disait de manière très sommaire.
Pour ce que vous écrivez à la fin, si vous voulez la perfection, pourquoi accepter les tares du système actuel ?
La question à laquelle il faut répondre est de savoir lequel est le plus conforme à votre éthique et/ou le plus viable et soutenable.
Je vais vous donner un exemple de manière de raisonner et de poser les éléments de bases.
Le principe du mérite personnel implique la juste rétribution sur la base où c’est le temps de vie des êtres qui est la mesure de la valeur de la redistribution qui fera le montant de votre propre rétribution.
Ce temps de vie ne se mesure pas par l’égalité absolue, mais l’égalité relative et qu’on appelle l’équité.
Aussi, il faut considérer plusieurs variables dont il faut calculer les rapports d’équilibre entre ces variables.
Autrement dit, entre la connaissance, maitrise, expérience, dangerosité, pénibilité, et le besoin pour satisfaire aux besoins de production d’une manière génélrale.
après, il y a la compétence, l’inventivité, l’innovation ou encore le gain de rendement qui permet de réduire le coût humain en terme de temps dédié à la production. Dans un tel système,
Cela nécessite donc d’utiliser les bourses, mais leurs réglages ne sont plus les mêmes.
Bref, ce sont les besoins et aspirations secondaires limités par les contraintes de manière générale disons environnementales de chacun qui vont définir la somme de temps nécessaire à dédier à l’activité productrice qui va commander. Au delà, on est dans l’activité non productrice !
J’oublia, vous évoquez Daniel Costel, j’adorait son ou ses émissions racontant l’histoire comme des inventions ou de l’aviation. Sa voix m’hypnotisait, rendait son récit fascinant. j’ai jamais retrouvé cette impression chez un autre narrateur.