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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Michel Houellebecq tourne dans un film porno en Hollande !

Michel Houellebecq tourne dans un film porno en Hollande !

Michel Houellebecq a accepté de collaborer avec le collectif de cinéastes hollandais KIRAC (Keeping It Real Art Critics) en tournant un film porno. Un lot de consolation pour celui dont la lune de miel au Maroc et les prostituées qui l'y attendaient ont été annulées au dernier moment à cause d'une menace terroriste. Des détails appris dans la bande-annonce du court-métrage. Pour voir le résultat final, une projection est prévue le 11 mars à Amsterdam.

Marianne nous en apprend plus sur la jeune et longiligne Hollandaise qui embrasse Houellebecq à pleine bouche :

La précédente vidéo de KIRAC mettait déjà en scène ce genre d'ébats, avec la même jeune femme que celle aujourd'hui aux côtés de l'auteur français. Cette étudiante de 23 ans, se déclarant de gauche, prénommée Jini Jane, avait demandé en 2021 à être filmée durant une relation sexuelle avec le philosophe conservateur de droite Sid Lukkassen, recruté via une annonce passée sur le blog hollandais GeenStijl. L'objectif du porno ? Combler le fossé idéologique qui les sépare. Et tant pis si, durant le tournage, Lukkassen retirait son consentement à la diffusion des images : le film est quand même sorti.

Tags : Cinéma Art Michel Houellebecq Sexe Pays-Bas




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67 réactions à cet article    


  • berry 28 janvier 16:23

    Moi aussi, je suis un philosophe de droite et j’écris sur Agoravox.

    Je veux bien me rapprocher de la gauchiste et renier Marine, mais je veux pas de caméras.


    • Boris Boris 29 janvier 07:49

      Toujours coiffé avec un pétard le Walbeck !


    • microf 28 janvier 16:34

      Quelle honte.

      Le Président Poutine a raison lorsqu´il dit ceci, " élites occidentales, vous avez échoué "


      • Jean Beudeufair 28 janvier 17:35

        @Globulard
        "Oui mais le président Poutine ne veut pas chez lui des mecs avec teubs énormes mais molles mais molles"

        Tu y seras le bienvenu alors ! smiley


      • yoananda2 28 janvier 17:48

        @microf
        comme je disais précédement : https://www.theguardian.com/global-development/2023/jan/26/africa-less-safe-secure-and-democratic-in-past-decade-ibrahim-index
        l’afrique ne se développe pas vraiment, c’est la chine qui se développe en afrique.
        la chine et la russie propagent la haine de l’occident, afin de récupérer le continent.
        perso, je le leur laisse. s’ils pouvaient imposer le russe ou le chinois dans les écoles en afriques ...
        mais ils sont pas si con


      • wendigo wendigo 28 janvier 21:43

        @Jean Beudeufair
        "Tu y seras le bienvenu alors ! "
        ...
         
        D’après vous comment il est au courant ?
        Non je déconne, le mot "molle" dans ça phrase nous indique l’existence de l’objet, ce qui ne colle pas avec globule. Quand on le voit passer ses journées sur ce site, cela nous indique bien qu’il n’a pas ce qu’il faut pour affronter la vie réelle.
        Pas besoin de ce matériel pour insulter sur le net !



      • Boris Boris 29 janvier 07:44

        @Jean Beudeufair

        Surtout que ce connard de Globulard se vante d’en avoir une de 30 cm, m’étonnerait pas qu’il se passe du cirage sur sa tronche vérolée pour faire le renoi outillé comme de bien souvent d’une demi-molle.


      • Conférençovore Conférençovore 29 janvier 17:24

        Tiens l’impuissant et homo refoulé grosconnard intervient sur un module consacré à un film de boule. Voilà qui ne manque pas de piquant...


      • microf 30 janvier 12:35

        @yoananda2

        Merci élite occidentale !


      • amiaplacidus amiaplacidus 28 janvier 16:52

        Il ne faut pas vraiment être dégoûté ou, plus vraisemblablement, recevoir beaucoup, beaucoup, beaucoup .. de sous.


        • wendigo wendigo 28 janvier 21:45

          @amiaplacidus

           Ho vous savez dans le monde du fétichisme il en faut pour tous les goût (ou tout l’égout dans le cas présent)


        • Clocel Clocel 28 janvier 17:11

          Va falloir doubler les érections, sinon, on s’en branle de ce que Houellebecq fait de son temps libre.


          • chantecler 28 janvier 17:39

            Erections, pièges à cons !


            • wendigo wendigo 28 janvier 21:45

              @chantecler

               Ca sent le vécu ... smiley


            • Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 28 janvier 17:46

              #3 des Tendances

              Michel Houellebecq tourne dans un film porno en Hollande !

              °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

              L’intelligentsia dans tous ses ébats !


              Les grands philos comme Comte & Onfray attendent probablement leur tour pour participer dignement ?!

              Pour eux le moment ne doit pas encore être opportun ; & les politiques comme Zimmour par exemple, qu’attendent-ils pour améliorer leur popularité ?

              FIN du KY ; épouicétout !


              Comprenne qui pourra


              • gorguetto gorguetto 28 janvier 17:47

                Kachbeck ! Sacré hardeur le Houebec !


                • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 29 janvier 05:28

                  J’ai rarement vu une succession d’images aussi laides. Faut dire que cela fait un moment que je n’ai plus de télévision. 


                  • LUCA LUCA 29 janvier 06:05

                    C’est du cinéma d’auteur et Houellebecq performe son image tout en donnant un coup de pouce à cet artiste créateur d’une œuvre médiatique. 


                    • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 29 janvier 06:58

                      @LUCA

                      Bof, je ne vois là ni cinéma, ni auteur, ni artiste, ni créateur, ni œuvre.


                    • LUCA LUCA 29 janvier 10:07

                      @Gaspard Delanuit
                      Chacun interprète l’Art à sa manière, tout est une question de degré d’aboutissement de l’œuvre et d’ouverture d’esprit.


                    • arthes arthes 29 janvier 19:12

                      @LUCA

                      ...Quant à dire qu’il s’agisse d’Art...Art gore alors ?


                    • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 29 janvier 19:17

                      @LUCA

                      Même si l’at peut prendre des formes inattendues, ce n’est pas n’importe quoi et ce n’est pas seulement subjectif. L’art est quelque chose et pas la moindre chose, c’est la chose la plus élevée que l’être humain est capable d’accomplir, ça implique une certaine qualité et ne se réduit pas à la tentative de s’exprimer maladroitement pour provoquer des réactions. C’est facile d’inspirer le dégoût ou de choquer le bourgeois (il suffit par exemple de filmer un nouveau-né plein de sang). Une succession de sons ne fait pas toujours de la musique, une succession d’images de fait pas nécessairement du cinéma, une succession de mots ne fait que rarement de la poésie. Certes, nous ne voyons ici qu’une bande-annonce, mais elle n’annonce rien d’artistique. 


                    • arthes arthes 29 janvier 19:44

                      @Gaspard Delanuit

                      Je ne dirais pas mieux.

                      En substance, mm si je n’ai lu qu’un livre de H. "Plate forme" , comme littérature d’aéroport (genre je prenais l’avion pour un long périple, et j’ai peur de l’avion, alors pour détendre c’est ça ou SAS), je me souviens de l’avoir lu en plongeant dans un sentiment de voyeurisme, c’est ce qu’il provoque, je trouve, en plus de donner in fine le sentiment que ce mec est une espèce de suicidaire nihiliste, désespéré, mais qui continue l expérience de la vie, alors son égo, son image, se vautrer avec,...C’est son trip, sa jouissance faut croire.


                    • CoolDude 29 janvier 21:11

                      @Globulard

                      Sa réussite n’aurait elle pas été aidée par certains médias ?


                    • LUCA LUCA 30 janvier 04:35

                      @Gaspard Delanuit

                      "Certes, nous ne voyons ici qu’une bande-annonce, mais elle n’annonce rien d’artistique."

                      Oui c’est le début du commencement, regarder l’œuvre dans son intégralité avant d’en faire une critique, c’est le cas ici. La raison pour laquelle je me suis avancé en disant qu’il s’agissait d’une œuvre cinématographique d’auteur, c’est en lisant les commentaires catégorisant le film de navet ou d’extrémisme en se basant sur 3 images, n’ayant notamment aucun rapport avec l’annonce du titre légèrement pute à clic.


                    • LUCA LUCA 30 janvier 04:56

                      @Gaspard Delanuit
                      Oui, d’une certaine manière vous avez raison, c’est d’ailleurs pour cela que je parlais du degré d’aboutissement d’une œuvre, de l’importance du degré d’expression et de maîtrise que l’artiste transpose dans son travail ou sa démarche. Cela dit, chez u artiste, il y a des oeuvres majeures souvent critiquées pour leur audace et d’autres qui le sont moins malgré leur qualité.


                    • LUCA LUCA 30 janvier 05:14

                      @arthes
                      Je pense à Gustave Courbet quand il peigna en son temps "l’origine du monde", les critiques d’art étaient aussi "choqués" que vous l’êtes maintenant !

                      ...Et l’Art de la guerre serait soft ? ;)


                    • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 30 janvier 08:50

                      @LUCA

                      Le fait que des œuvres d’art aient été critiquées dans le passé ne suffit pas à conférer un statut artistique à tout ce qui est aujourd’hui critiquable. De plus, c’est souvent le sujet (comme dans le cas du tableau dont vous parlez) qui rencontrait auparavant une vive opposition (on ne reprochait pas  ou pas principalement  à Courbet de mal peindre). Ce qui est très différent du rejet dû à la piètre qualité formelle des "audacieuses performances créatives contemporaines". Je vais être plus simple : l’art, c’est le beau, point barre. Certes, personne ne détient le monopole du beau et certaines formes de beauté peuvent être subversives ou imprévues. Une pointe de dissonance peut être justifiée pour le contraste et la tension, pour éviter la beauté mièvre, pour donner du ressort, oui ! Mais lorsque la laideur est cultivée pour la laideur, parce qu’elle est simplement plus facile que la beauté, il n’y a pas à tortiller du cul : ce n’est pas de l’art. Ou bien, c’est de l’art inversé pour une société infernale peuplé d’entités sinistres se nourrissant de laideur. On ne voit dans la vidéo qu’une bande-annonce laide, qui est peut-être mal faite, mais qui ne me donne pas envie d’aller plus loin. Si, à l’entrée d’un restaurant branché hyper-contemporain, ça sent juste la pisse et le moisi, je ne vais pas plus loin non plus. Il y a tant de paysages magnifiques à contempler dans la nature et tant d’œuvres d’art à admirer dans toutes les cultures que je me demande bien pourquoi il faudrait perdre son temps avec ce qui est moche et médiocre ou tout simplement nul. 


                    • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 30 janvier 09:00

                      @LUCA

                      "les critiques d’art étaient aussi "choqués" que vous l’êtes maintenant !"


                      Je ne suis pas "choqué". Et je ne reconnais pas de droit humain à n’être pas choqué. Je suis même favorable à une alternative à l’entartrage des ennuyeux pontifiants qui consisterait à traiter au taser toutes les chochottes qui se prétendent choquées pour un rien dix fois par jour. Comme ça, ielles se sentiront choqué-e-s pour quelque chose.  smiley

                    • LUCA LUCA 30 janvier 11:31

                      @Gaspard Delanuit

                      Je vous rejoins complètement, 

                       "...Ou bien, c’est de l’art inversé pour une société infernale peuplé d’entités sinistres se nourrissant de laideur ..."

                      Pour ma part c’est un peu le cas effectivement, je pratique et côtoie des artistes depuis longtemps, j’ai pu constater que nous sommes dans une phase artistique assez exubérante, où l’idée et son effet sont prioritaires, surtout au détriment du travail de composition colorimétrique par exemple, je pense que les profs d’art-plastique ont ouvert les vannes d’un folklore artistique plus accessible au "start-uper" de l’ART

                      PS : "choquée" : j’ai mis des guillemets pour cette raison.


                    • Conférençovore Conférençovore 30 janvier 13:04

                      @arthes
                      Dans plusieurs autres ouvrages comme "les particules élémentaires" et un autre dont j’ai oublié le titre (d’ailleurs c’est une constante avec Houellebecq : j’en oublie les titres alors que je les ai tous ou presque lu, de même que les histoires qui sont secondaires à part la "Possibilité d’une île" qui est à recommander comme chez Bukowski, Kafka et d’autres), on retrouve ce ou ces personnages censés illustrer la décadence, l’avillissement intégral et volontaire de l’occidental désabusé, n’attendant plus rien de la vie sinon la poursuite d’une minable jouissance perpétuelle jusqu’à ce que mort s’en suive. C’est une lecture qui peut être vécue comme déprimante mais elle est jugée par beaucoup comme brillante au sens où l’auteur met surtout en lumière et de manière brute une réalité de nos sociétés dites développés. 
                      Le seul qui tranche un peu (de mémoire...) et du point de vue du style plus travaillé (et pour cause, le perso principal est un expert de la littérature) est "Soumission". Mais le fond est le même : j’ignore comment certains lecteurs ont pu s’extasier du scénario de ce livre (voire l’interpréter complètement à l’envers) alors qu’il s’achève avec un funeste destin pour notre pays mais il comporte la même dimension fataliste. Elle est simplement étendue à toute une nation. 

                      Que Houellebecq et Onfray aient pu se rencontrer et se raconter récemment n’a rien de surprenant : tous deux partagent cette idée de fin de cycle de notre civilisation, une idée assez répandue mais que l’un illustre par la littérature et l’autre par la philo de manière plus ou moins réussie. Mais probablement que cette idée est aussi tout simplement liée à la condition même de ces personnes : Sans faire dans la psycho de bazar, Onfray s’est déjà tapé 2 AVC me semble-t-il. Il a aussi perdu une de ses femmes et n’a pas eu d’enfants : autrement dit, il sait qu’il ne restera de lui que ses livres, ce qui n’est pas rien, mais il est conscient en bon expert de l’histoire de la philo que nombreux sont les auteurs, compositeurs et autres à finir oubliés et ce malgré un talent tout autre que le sien. Houellebecq est un dépressif (né ?) qui se consume depuis des années. Une connaissance, vendeur de voitures, l’a un jour vu débarquer dans sa concession : au début, il a cru que c’était un clodo qui s’était perdu là. Il était accompagné d’une sorte de pouffe vêtue d’une jupe en skaï ras-la-touffe d’une vulgarité sans nom. Mais non, c’était bien lui... Par contre, je n’ai aucunement l’impression que son ego ou son image l’importe, bien au contraire. Il est juste dans son rythme à lui et une forme de mépris assumé pour la représentation. Ces derniers tranchent avec les codes médiatiques qui exigent des gens avec de la répartie, qui vont vite... mais où exactement, personne ne le sait vraiment, semble-t-il nous dire. Peut-être et au pire en joue-t-il un peu, comme pour nous dire "vous n’aimez pas ma gueule, mais moi, je m’en tape de ma tronche, comme de la vôtre d’ailleurs, je suis.". Depardieu est du même tonneau. Ceci se vérifie dans sa conception de la perception :

                      Le roman, essentiellement, est fabriqué par des îles. Des îles qui sont des personnages. Il y a aussi des romans à la première personne qui sont différents dans ce sens que ce n’est pas vraiment un « je » de la biographie mais un « je » de la perception plutôt. C’est un « je » particulier d’un être percevant avec sa manière particulière de percevoir. Disons que dans un film, ce serait plutôt la caméra qu’un personnage. Le « je » d’un roman écrit à la première personne serait ça. Mais la poésie a ceci de très particulier que « je, tu il ou nous » sont équivalents d’un certain côté. C’est-à-dire, il y a une certaine a-grammaticalité qui est en fait signifiante d’une absence de distinction réelle entre soi et les autres et même entre soi et le monde.



                    • arthes arthes 30 janvier 19:28

                      @LUCA

                      Justement...Même si votre comparaison avec cette oeuvre de Courbet me semble pertinente, en ce sens que nous parlons de réalisme dans le cas de la production ciné et de Courbet et bien..., Je n’aime pas Courbet , car ses peintures me paraissent de froides reproductions...Réalistes, avec des inspirations à la Rubens, mais sans la créativité, la force, le talent..

                      Je déteste autant les surréalistes, surtout Magritte...Beurk

                      "Le sens de la vie" quant à lui fit scandale, et peut être ce scandale contribua beaucoup la notoriété de Courbet en fait.

                      Le sens de la vie, c’est le désir, je le préfère exprimé ici : https://www.carredartistes.com/fr-fr/blog/modigliani-oeuvre-nu-portrait

                      Sinon, le film réaliste glauque est aboutit, c’est pourquoi il y a une bande annonce qui le porte, il n’est pas choquant, mais chiant....Cela me rappele les cours d’éduc sexo dans les années 70 où on nous imposait , jeunes ados, de voir un film d’ accouchement , avec un tétard in fine sanguinolant posé sur le ventre de la mère rouge et essouflée, avec musique guimauve, ..La classe !!!

                      Si vous voulez appeler cela de l’Art....


                    • arthes arthes 30 janvier 22:54

                      @Conférençovore

                      Je veux bien vous suivre à 70%, mais pas pour les derniers paragraphes, ce qui fait une différence...Pour moi, Hoellebecq, Onfray et Depardieu sont des nihilistes, c est l orgueil qui fait loi, je les trouve à côté de la plaque... je préfère encore et bien davantage  les fatalistes qui acceptent et renoncent et trouvent
                      à ce prix là vigueur, la vitalité et la créativité , le désir quoi...


                    • LUCA LUCA 31 janvier 03:47

                      @arthes
                      Les goûts et les couleurs... vous connaissez la chanson... :)

                      "Le sens de la vie" quant à lui fit scandale, et peut être ce scandale contribua beaucoup la notoriété de Courbet en fait.

                      "
                      Il était déjà bien connu avant cela, précurseur du "réalisme", il a obtenu une première récompense au salon des Beaux Arts en 1844, " l’origine du monde" date elle de 1866 et a été découverte par le grand public en 1995 !

                      Je comprends ce que vous me dites, je suis même en partie d’accord avec vous, mais je ne veux pas être aussi catégorique dans mes propres choix, je préfère me tromper de temps à autre, une erreur provoquée n’est du coup plus un hasard malencontreux et peux aboutir à une nouvelle expérience ...dans l’esprit du principe théorique de Jung, les synchronicités et leurs actions...


                    • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 31 janvier 05:44

                      @arthes

                      "Cela me rappele les cours d’éduc sexo dans les années 70 où on nous imposait , jeunes ados, de voir un film d’ accouchement , avec un tétard in fine sanguinolant posé sur le ventre de la mère rouge et essouflée, avec musique guimauve, ..La classe !!!"

                      On a dû voir le même. On a aussi eu droit à la vidéo de la dissection d’un pauvre clébard suspendu et écartelé la poitrine ouverte et dont il s’agissait de montrer le coeur battant (si je me souviens bien). 

                    • TchakTchak 31 janvier 07:46

                      @LUCA

                      Roland Dorgelès a laissé faire les mouvements d’une queue d’âne imbibée de peintures sur une toile, qu’il a appelé Et le Soleil  s’endormit sur l’Adriatique, puis Marcel Duchamp a présenté son urinoir qu’il a appelé Fontaine. Leurs démarches étaient d’interroger la différence entre l’art, capable de lire le spectacle du monde, d’en partager sa beauté et l’imposture, le faux. Sauf que ces gestes sont devenus le nouveau mode d’expression : juste provoquer, se foutre de la gueule du public. L’art, c’est plus que ça. Un peu comme 1984, d’Orwell : c’était une alerte, pas un mode d’emploi. Si l’art est pour raconter le moche, qu’on ne nous demande pas de respecter ce qui contribue à l’enlaidissement du monde, à éteindre notre empathie naturelle pour celui-ci. Il faut savoir le dire aussi, quand c’est de la merde.

                      C’est l’air du temps : toute l’architecture d’après guerre, dans laquelle on vit, est laide et ne durera pas plus de 200 ans, alors qu’on n’éprouve pas du tout les mêmes sentiments quand on se promène parmi des vestiges millénaires encore debout. Ce qui est attractif pour les touristes, à Paris, sont les bâtiments et squares anciens, pas les immeubles en béton ni les plateformes, pourtant plus modernes. Ne subsistent que quelques rares architectes d’exception, comme Antoni Gaudi.

                      L’origine du monde est provocante, certes, mais pas moche. Lu sur un graffiti en Côte d’Ivoire : "Toute la beauté du monde se trouve entre les jambes d’une femme". Dans tous les temples hindous, et il y en a des centaines de milliers, sans doute plus, on vénère en son cœur peu éclairé un phallus dur et une vulve ruisselante. Mais dans ce clip, le sexe est moche. Et le porno ? Bah, le sexe, c’est ce qu’on en fait. Attiser les frustrations n’est pas ce qui apaise, ni ne rend heureux, ou plaisant, ni ne rend intelligent avec, l’inverse de ce pour quoi le sexe est fait. 


                    • arthes arthes 31 janvier 17:38

                      @LUCA

                      Disons alors que Courbet est surtout connu du grand public pour cette oeuvre particulièrement..
                      Cela dit, il a fait fort, car ce tableau, enfin une reproduction, accroché dans un salon ne peut que "flasher" , c’est à dire interpeller les invités, il ne peut laisser indifférent, mm si notre modernité voudrait que nous soyons blasés.

                      Je me suis déjà pas mal trompée, et ça recommencera, c’est pour cela que je pense toujours utile de faire un peu de nettoyage...Radical... dans ma vie et dans mes goûts, y apporter de la précision en accord avec ma nature , cela n’a rien de révolutionnaire, dans le fond, je cherche à ne pas perdre de temps, mais intensifier celui qui me reste à vivre...


                    • Le Monde part en couilles 911 Pentagone ? 29 janvier 10:08

                       Michel qui allume la clope de Clémentine ?

                      C’est chaud...

                       smiley


                      • CoolDude 29 janvier 20:52

                        La seule chose que j’ai lu de Houllebecq c’est les "Les particules élémentaires !".

                        Ou ca parle de cul...

                        Freud, ou est tu ?

                        Chercher une transcendance dans ses écrits !... ?

                        Mais, certains aiment.

                        Perso, Je ne vois une rien a part un vide que je constate en permanence.

                        Si "On" était guidé que par ca, ca se serait !


                        • CoolDude 29 janvier 21:08

                          @CoolDude
                          Ca vaut un correctif :

                          Perso, Je ne vois une rien a part un vide que je constate en permanence.

                          Si "On" était guidé que par ca, ca se serait !


                          Perso, Je ne vois rien a part un vide (intersidéral) que je constate en permanence.

                          Si "On" était guidé que par ca, ca se saurait ! (D’autres font mieux... Beaucoup mieux !)

                          J’ai pas fait hypocagne... Mais vous le savait déjà !

                          L’Homme de base, la pensée de base au ras des pâquerettes !
                          La preuve en image ou dans l’article.

                          Comme dit la chanson : Simple et Basique.



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