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Accueil du site > Culture & Loisirs > Étonnant > 12 déc. 2020 - Étienne Klein : À quelle vitesse va la lumière ?

12 déc. 2020 - Étienne Klein : À quelle vitesse va la lumière ?

À quelle vitesse va la lumière ? - Matière à contredire avec Étienne Klein

•12 déc. 2020
France Culture
C'est une question naïve, voire même stupide : à quelle vitesse va la lumière ? Derrière ce truisme, se cachent une histoire passionnante et des découvertes subtiles. Éclairage avec la philosophe des sciences Étienne Klein dans "Matière à contredire".

Tags : Culture Science et techno Ecole




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25 réactions à cet article    


  • vote
    sls0 sls0 16 décembre 2020 12:04

    Je suis bien content d’être né après Enstein.

    Pour mon prof aussi, expliquer les équations de Maxwels à des jeunes de 15-16 ans, c’est faire avaler de l’indigeste. Bon prof, il nous a servit à peu près la même explication que Klein.

    Premier contact avec l’expérience par la pensée.


    • 1 vote
      Étirév 16 décembre 2020 13:05

      La lumière n’a pas de vitesse.
      La vitesse de propagation que l’on attribue à la lumière est celle du courant électrique qui l’engendre ; c’est lui qui parcourt l’espace qui sépare les astres incandescents des astres obscurs. Ce n’est pas l’ « essence lumière », puisqu’elle n’existe pas. La lumière est une conséquence, une suite et un résultat d’une série de phénomènes, mais elle n’existe pas en l’absence des causes qui la font naître.
      La vieille formule qui la définissait ainsi : « La lumière est un mouvement vibratoire qui s’agite au sein des corps lumineux et se transmet de leur centre à travers l’éther », ne renfermait que des erreurs. La lumière n’est pas un mouvement vibratoire, elle ne se transmet pas, il n’y a pas d’éther.
      C’est en étudiant la mesure absolue des grandeurs électriques que l’on est arrivé à trouver la relation qui existe entre la vitesse numérique de l’électricité et celle que l’on avait jusqu’ici attribuée à la lumière, sans savoir qu’en mesurant la prétendue vitesse de la lumière, on mesurait la vitesse du courant qui l’engendre.
      Une même grandeur électrique dans les deux systèmes de mesures absolue a montré que la vitesse était d’environ trois cents millions de mètre par seconde, c’est-à-dire égale à la vitesse de la lumière.
      Charles Wheatstone avait déjà annoncé, avant ses récentes découvertes, que la vitesse de propagation de l’électricité devait être égale à celle de la lumière.
      Tous les traités classiques de physique nous parlent de la propagation de la lumière, du temps qu’elle emploie à parcourir l’espace, des différentes théories qui nous expliquent sa transmission : ondulations, vibrations, etc.
      Tout cela repose sur une erreur de principe. La lumière ne se propage pas, elle ne met donc pas un temps quelconque à venir d’un point quelconque. Ce qui se transmet, c’est la radiation qui l’engendre ; mais la radiation est obscure, elle ne devient lumière qu’en s’arrêtant et, du moment où elle s’arrête, elle ne circule plus, la lueur reste à la place où elle a fait son apparition. Du reste, l’étincelle qui la produit est fugitive, elle apparaît et disparaît dans un temps très court. Si la lumière du jour dure, tant que nous sommes en face du soleil, c’est parce que les radiations qu’il nous envoie incessamment, renouvellent incessamment les étincelles qui font la lumière du jour ; mais ce ne sont pas les mêmes étincelles qui durent ; elles sont fugitives comme l’éclair, dont elles ne sont qu’une réduction. Ce qui prouve que la lumière ne se transmet pas, c’est que l’espace qui sépare la terre du soleil n’est pas éclairé. La lumière n’illumine pas les régions élevées de l’atmosphère. Les aéronautes qui se sont élevés à la hauteur de sept à huit kilomètres au-dessus du niveau de la terre, après avoir vu, peu à peu, s’éteindre la lumière terrestre, ont vu briller les étoiles comme pendant la nuit la plus obscure, et la terre, qu’ils voyaient sous leurs pieds, leur paraissait brillante de lumière.
      Du reste, il nous suffit d’observer la lune pour comprendre que sa lumière est produite sur place et ne résulte pas de rayons propagés du soleil à sa surface, car, si cela était, nous verrions une trainée lumineuse dans le ciel.
      COSMOGONIE


      • 1 vote
        WakeUp 16 décembre 2020 19:05

        @Étirév

        Pour reprendre un agoravoxien, le manque de culture scientifique engendre une grande tolérance envers le blabla dénué de logique.

        Vous pourriez discuter de physique quantique avec Onfray.


      • 1 vote
        ezechiel ezechiel 18 décembre 2020 11:11

        @Étirév "La lumière n’a pas de vitesse. La vitesse de propagation que l’on attribue à la lumière est celle du courant électrique qui l’engendre"

        Quand les physiciens parlent de propagation de la lumière, il font bien évidemment référence à la propagation du champ électrique et magnétique du signal.
        Parler de lumière, c’est juste un abus de langage.


      • vote
        gepobe gepobe 22 février 2021 08:18

        @Étirév bonjour, ce n’est son caractère lumineux qui défini la lumière. ce que vous appelez radiation, c’est la lumière et la lumière ne s’arrête pas , sinon, on ne verrait plus la lune.


      • vote
        Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 16 décembre 2020 14:02

        Pourquoi cette vidéo ? (pour réviser des bases évidemment)

        1/

        la lumière

        à la fois 

        -onde électromagnétique (voir les équations de Maxwell

        dont parle sls0 : apprises par lui, à 15 ans ? nous

        dit-il ! Qui dit mieux ?)

        -corpuscule

         : le fameux photon (effet photo-électrique découvert en 1905 ->Nobel pour Einstein

        en 1922)

        La physique ce sont avant tout des formules :

        E = hf onde

        l = h/mv corpuscule

        2/

        les référentiels dits inertiels ou galiléens : Klein insiste toujours là-dessus à raison, pour parler à la fois des relativités

        a)

        de Galilée : "le mouvement n’est rien"

        b)

        d’Einstein

         :

        -RR avec la géométrie de Minkowski, l’Espace-Temps

        & c = "constante" (voir ci-dessus) 

        -RG et la courbure de l’Espace-Temps

        avec la géométrie de Riemann

        NB. j’arrête là mon effort, qui suit les contributions de SC et de sls0

         ; ça serait chouette que d’autres prennent le relai, ce qui, à ne pas douter, releverait le niveau de Ago... en dépassant, pour une fois, les tchatches habituelles ! Si possible éviter les copier/coller, comme si vous étiez à l’oral !

        Merci d’avance


        • vote
          sls0 sls0 16 décembre 2020 14:52

          @Mao-Tsé-Toung
          Mes études ce n’était pas en France, à 15 ans on étaient déjà emmanché dans une filière, le magnétisme et Maxwels arrivaient vite pour ceux qui avaient choisi électricité. Avec l’électronique on frôlait le quantique. 

          En 72, en début d’année scolaire le prof de math colle une photo format A2 sur le tableau avec un F14 de mémoire. On lui a demandé le rapport entre cet avion et les maths. Il nous a répondu qu’on allait voir toutes les formules pour faire voler la chose. Même discours de la part d’autres profs. De la théorie reliée à du concret.
          Quand je suis arrivé en France c’était théorême de d’untel ou d’un autre, pas grand chose de relié à du concret.
          15-16 ans c’est peut être pas possible en France, il n’y a pas que le France.

          En france à 17-18 ans, thermodynamique et physique nucléaire, toujours filière oblige.
          Que des bons souvenirs avec Vin mon prof de physique, souvent nos discussions se poursuivaient après les cours. Mon bouquin bilingue de Feynman c’est lui qui me l’a refilé.


        • vote
          Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 16 décembre 2020 15:18
          sls0 16 décembre 14:52

          @Mao-Tsé-Toung
          Mes études ce n’était pas en France, à 15 ans on étaient déjà emmanché dans une filière, le magnétisme et Maxwels arrivaient vite pour ceux qui avaient choisi électricité. Avec l’électronique on frôlait le quantique. 

          °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
          "Le magnétisme et Maxwels " à 15 ans

           ? 


          @sls0

          Je veux bien ; mais quelle que soit la longitude et la latitude, quand on parle physique, on parle aussi maths certes appliquées, mais maths quand même, pour la modélisation et donc les calculs : vous me permettrez là d’avoir des doutes : maitriser les équations différentielles à 15 ans, en plus du reste, je demande à voir !

          Je suis le seul sur les deux Ago à parler FORMALISME d’abord pour la MQ par exemple ; cela veut dire que de l’à-peu-près c’est toujours du FAUX, en sciences dites dures !

          Merci pour votre contribution


        • vote
          sls0 sls0 16 décembre 2020 18:03

          @Mao-Tsé-Toung
          Equations intégrales, les formules de Maxwel c’est quatre équations aux dérivées partielles.
          Ce n’est pas des équations différentielles.
          A l’époque il y avait beaucoup d’aiguillages au niveau scolaire, en perdant un an j’avais un diplôme qui m’aurait permis de me mettre à mon compte comme comme électricien. Le diplôme mais pas l’âge. Dans ces conditions Maxwel devait être connu.


        • vote
          CoolDude 16 décembre 2020 18:22

          @sls0

          Je ne pense pas que l’on apprenne ce qu’est l’opérateur "divergence" et "rotationnel" à cette age, ni ce qu’est une équation d’onde !
          https://commons.wikimedia.org/wiki/File:James_Clerk_Maxwell_Statue_Equations.jpg ?uselang=fr

          Et c’est bien de la géométrie différentielle...

          On vous a peut être donné les théorèmes de Gauss, Ampère, etc... Mais ce ne sont pas les équations de Maxwell qui sont les formes locales de ces équations.


        • vote
          sls0 sls0 16 décembre 2020 19:09

          @CoolDude
          Vous renvoyez sur une image.
          Je renvoie sur l’article.


        • 1 vote
          CoolDude 16 décembre 2020 19:49

          @sls0

          Et on vous a appris ce qu’était un gradient, une divergence et un rotationnel en 1er ? Et vous avez eut un coup sur les ondes électromagnétiques, etc...

          Vous êtes trop badass, il n’y a pas a dire ! Chapeau bas l’artiste...


        • vote
          CoolDude 16 décembre 2020 19:54

          @CoolDude

          Et concernant, l’inscription de la formule de Maxwell dont je fais réference, je me demande même si vous avez déjà vu ces formulations à par dans vos rêves.


        • vote
          Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 16 décembre 2020 20:15
          sls0 16 décembre 18:03

          @Mao-Tsé-Toung
          Equations intégrales, les formules de Maxwel c’est quatre équations aux dérivées partielles.
          Ce n’est pas des équations différentielles.

          °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
          "les équations différentielles partielles, plutôt appelées équations aux dérivées partielles" WIKIPEDIA

          @sls0
          Ok ! Je veux bien : nous nous sommes quand même bien compris ! Cela n’ enlève rien à mon propos qui était de vous dire simplement que maitriser à 15 ans les formules de Maxwell, cad à la fois, sur le plan de la physique et de la mathématique correspondante, ce n’est pas rien : raison pour laquelle "je demandais à voir"...
          Ceci étant dit : Klein, qui semble avoir votre age, nous dit assez souvent, que l’enseignement MPC de sa seconde était équivalent à celui de la TERMINALE d’aujourd’hui (TS)... je demande à voir quand même ce qu’il en est : l’à-peu-près, c’est l’à-peu-près ; le savoir, c’est le savoir : à ne pas confondre

          SVP
          Donc ce qu’il faut comparer ici c’est bien les enseignements MPC correspondants dans leur totalité et pas seulement les formules de Maxwell...

          Merci pour votre contribution
           


        • vote
          alanhorus alanhorus 17 décembre 2020 16:06

          La vitesse du trollage de slso est battue....c’était pas lui le prem’s


          • vote
            ezechiel ezechiel 18 décembre 2020 11:01

            "Se déplacer dans l’espace, c’est ralentir la vitesse à laquelle on va vers le futur."

            Étienne Klein est un très bon vulgarisateur, tout est très clair, sauf ses explications dans la dernière minute du documentaire. Tous les référentiels galiléens sont strictement équivalents, rien ne peut les distinguer les uns des autres. Que J’ai une vitesse de 0km/h, 10km/h, 1000 km/h ou 100 000 km/h ça ne change rien, je n’irai pas plus vite ou plus lentement vers le futur.


            • vote
              WakeUp 18 décembre 2020 18:36

              @ezechiel
              Tous les référentiels galiléens sont strictement équivalents
              Bah non justement. Ce que vous décrivez c’est la mécanique newtonienne, qui est mise en défaut à grande vitesse ou dans les champs gravitationnels importants. Le temps ne s’écoule pas de la même manière dans différents référentiels.


            • vote
              ezechiel ezechiel 18 décembre 2020 19:27

              @WakeUp "Bah non justement. Ce que vous décrivez c’est la mécanique newtonienne, qui est mise en défaut à grande vitesse ou dans les champs gravitationnels importants. 

              Je ne parlais pas ici de gravitation et Étienne Klein non plus, juste de référentiels galiléens, qui se déplacent à des vitesses différentes les uns par rapports aux autres. Aucune lois physique ne permet de les distinguer.
              Donc s’ils sont indistinguables, comment un référentiel particulier peut-il être vu comme ralentissant la vitesse vers laquelle on va vers le futur ?


            • vote
              WakeUp 18 décembre 2020 20:16

              @ezechiel
              Vous êtes coincé dans le paradigme de la physique newtonienne.
              Je le dis et le répète, celle-ci n’est plus valide dans le cas de grandes vitesses (le sujet ici) et dans le cas de champs gravitationnels importants (c’est moi qui l’ajoute parce que c’est une précision importante).
              Au lycée on s’arrête à la physique newtonienne et elle peut vous sembler indépassable. Mais ce n’est pas le cas.

              Chaque référentiel à son propre écoulement temporel, son propre espace-temps.
              Et ça se calcule très bien.
              Entre autres : pour un photon, le temps ne s’écoule pas. Il voyage donc instantanément dans le futur.

            • vote
              ezechiel ezechiel 18 décembre 2020 20:55

              @WakeUp "Je le dis et le répète, celle-ci n’est plus valide dans le cas de grandes vitesses (le sujet ici) "

              La théorie de la relativité retreinte d’Einstein nous dit que tous les référentiels, quel que soit leur vitesse (inférieure à celle de la lumière) sont indistinguables, il n’existe pas de référentiel absolu.

              ---------------------------
              "Chaque référentiel à son propre écoulement temporel, son propre espace-temps. Et ça se calcule très bien."

              Tout à fait, mais ça ne répond pas à la question, puisque les transformations de Lorentz visent justement à préserver l’inviolabilité des lois de la physique, qui doivent être indépendantes du référentiel galiléen.

              --------------------------
              "Entre autres : pour un photon, le temps ne s’écoule pas. Il voyage donc instantanément dans le futur."

              Si par rapport à un référentiel galiléen, vous vous déplacez à une vitesse très proche de celle du photon, tout se passera autour de vous normalement, comme si vous étiez au repos et vous n’avez aucun moyen de savoir si vous vous déplacez à une vitesse proche de celle de la lumière. Cela n’implique donc nullement que vous voyagez dans le futur par rapport au type qui est resté dans le référentiel au repos.
              Car pour vous, c’est lui qui voyage à une vitesse proche de celle de la lumière !


            • vote
              [email protected] 19 décembre 2020 07:50

              corpuscular, vitesse des photons, ou une onde vitesse de propagation d une vibration ? si une vibration il lui faut un support materiel pour se propager, ds le vide ? onde une deformation des proprietes electromagnetiques de l’espace, ou les photons totalement ephemere existerait sur un front d’onde creant une singularite electromagnetique, tout comme l’electron qui peut potentiellement etre a differents endroits en cas de changement brutal de chgt d’energie modele de bohr


              • vote
                [email protected] 19 décembre 2020 21:15

                Le vide n’est pas aussi vide, ce qui explique la masse noire et les multi univers cad que le big bang était un épiphénomène, et d’autre univers aux constantes et propriétés différentes voir antagoniste comme l anti matière interfère et se chevauche, donc notre existence est multiple car résulte de ses interférences — les saisir revient a la ramener a une dimension triviale,

                comme il est triviale de parler de la célérité de la lumière (pas sa vitesse SVP ne restons pas prosaïque, le concept est totalement différent) — par exemple la tension ds un cable se déplace aussi a la célérité de la lumière, la vitesse des électrons se confronte a la résistance dudit conducteur, maintenant si le conducteur est courbe il engendre d’autre énergie irradiante (bobine), l électro magnétisme, on le nomme ainsi car c est la façon de générer ce champ de la façon connue, mais juste un tunnel qui permet a cette force d’emprunter 3 dimensions et de se matérialiser ds un espace isn’t it ? Maintenant les wormholes ? dis moi papy c est quoi, des singularités ah bon mais singularité cest qd on a pas d explication si les univers se chevauchent, c est une façon de pousser les limites des lois d un univers et donc rentrer ds un autre espace ou les lois sont différentes, comme le flash avec un excès de vitesse , ben merde alors ça troue le cul 


                • vote
                  gepobe gepobe 22 février 2021 08:35

                  @[email protected] bonjour, intéressant de penser que, puisque c’est l’intensité qui se déplace dans un cable électrique, la tension se comporte comme une intrication entre les deux extrémités du cable et permet la circulation du courant dans le sens opposé au sens conventionnel


                • vote
                  [email protected] 19 décembre 2020 21:21

                  maintenant le concept de immuable est plus intéressant, cela veut dire que toute extension se fait ds un espace, qui existe au delà de tout phénomène, du temps et de l espace, car il permet la matérialisation de ce qui s’expand, donc une page même si vierge reste le principe et le support, la comprendre revient a re-unifier tous ses univers


                  • vote
                    [email protected] 19 décembre 2020 21:27

                    maintenant notre cher philosophe a dit une connerie, ds un train la pièce qui tombe a une cinétique en forme de parabole depuis le quai, l expérience est pour un observateur en chute libre donc soumis a aucune force, l’apesanteur étant suppose prédominante les autres négligeables ....



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