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  • Premier article le 16/05/2015
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  • vote
    ffi 26 mai 09:33

    @Gollum
    Comme disait Poincaré : En définitive, nous n’aurons jamais de preuves indiscutable d’un passé irrémédiablement révolu.

    J’ai évidemment une autre définition de la science que toi, car la mienne en exclu le darwinisme.

    Pour moi, la science, consiste à proposer un ensemble des concepts, mesurables, avec les principes exposant la logique de leur relation. De cette manière, on peut tester les affirmations qu’elle propose, sinon, c’est de la mythologie.

    De fait, "la sélection naturelle" de Darwin, "la lutte des classes" de Marx, "la volonté générale" de Rousseau, "la main invisible" de Smith, sont non mesurables, non testables, donc irréfutables, donc ce ne sont que des mythes, ils n’ont rien de scientifiques.

    Et il en est de même de la théorie du big-bang et autres affirmation sur les lieux lointains de l’univers et ses objets étranges : ces théories sont non mesurables, non testables, donc ce sont des mythes.

    Et il en est de même de la genèse biblique : elle n’est pas non plus mesurable, ni testable, elle est donc irréfutable, c’est donc un mythe, ce n’est pas de la science.

    Et honnêtement, ce n’est pas un problème, car, en définitive, on ne peut avoir de preuve incontestable d’un passé irrémédiablement révolu.

    Ce qui nous importe avec la science, c’est qu’elle puisse apporter des solutions matérielle à des problème concrets de l’humanité ici et maintenant.

    Ce qui nous importe avec la religion, c’est qu’elle puisse apporter des solutions morales à des problème concrets de l’humanité ici et maintenant.

    Donc je ne vois pas l’intérêt de mythologies sans plus-value morale, désolé.



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    ffi 26 mai 09:09

    De la volonté :

    Comme je vous disais, un corpus doctrinal religieux se doit de permettre à l’homme de développer toutes ses facultés, tant dans son intelligence que dans la volonté, ceci d’une manière que la coexistence sociale soit possible.

    C’est pourquoi le premier principe, Dieu, doit comporter à la fois raison et volonté.

    De par l’entendement divin, qui est raisonnable, Dieu fonde un homme rationnel, ce qui permet à la science de se développer dans la société.

    En évacuant le raisonnable entendement divin, on aboutit à une science où les principes deviennent de plus en plus confus, mal définis, voire carrément irrationnels.

    De par la volonté divine, qui est juste et sage, Dieu fonde un homme juste et sage, ce qui permet à la justice de prospérer dans la société.

    En évacuant la juste volonté divine du corpus, on aboutirait à une société d’hommes dont la volonté n’est réglée que par la recherche du plaisir personnel, souffrant d’obsessions, d’illusions, de toxicomanie diverses et variées, de perte de self-contrôle, de déni des réalités impérieuse, bref, ça génèrerait de parfait petits esclaves en devenir.



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    ffi 25 mai 22:57

    Bien-sûr qu’il n’y a plus de révolution scientifique, tout est figé, juste une sophistication fondée sur toujours les mêmes principes, des principes nominalistes. Il n’y a plus de réflexion sur les concepts de base. On étudie des trous noirs à des millions d’année-lumière... La belle affaire, qui peut aller vérifier ?

    Pourtant, il n’y a jamais eu autant de chercheurs, mais la recherche a atteint un niveau affligeant de conformisme. Quels retours sur investissement de tous ces coûteux instruments scientifiques ?

    Quant au darwinisme, non, il n’a rien de prouvé. 

    Déjà, il cale au démarrage : Systématiquement les recherches montrent que la vie ne naît que de la vie.

    Ensuite, le concept de "sélection naturelle", ça signifie quoi exactement ? ça se mesure ? ça se met en éprouvette ? Non, c’est un concept flou. En Physique, au moins, les concepts sont précis, ils ont une mesure, du coup on en tire des lois vérifiables (conservation de l’énergie, de la masse,...etc).

    Rien de tel dans la loi de Darwin. Tout au plus peut-on déduire que toute espèce qui ne survit pas s’éteint... C’est un truisme.

    Darwin a transposé la "sélection artificielle" faite par l’homme à la nature (personnifiant la nature au passage).

    Mais la sélection artificielle ne crée que des variétés nouvelles d’un même espèce. Jamais en croisant des races de chien, l’homme n’a produit des chats. La sélection artificielle crée des races, pas de nouvelles espèces.

    On observe systématiquement que les hybridations animales (âne-cheval, tigre-lion,...etc) donnent des femelles stériles.

    De plus, une espèce est un tout, il ne suffit pas d’une ou deux mutations au hasard pour changer l’espèce, mais d’un nombre assez considérable. Que cela puisse se produire pour 1 individu, c’est déjà douteux, mais il faudrait pourtant que ce même nombre considérable de mutations se produisent en un même lieu et à la même époque, identiquement, chez un mâle et une femelle, pour que la nouvelle espèce puisse perdurer. Quelle probabilité ?

    Le modèle Darwinien suppose que l’évolution soit progressive, qu’elle puisse être faite petit bouts par petit bouts.

    Or la génétique montrent bien que les différences entre espèces implique un grand nombre de gènes différents.

    De plus, les fossiles montrent des changements brusques et non des changements progressifs, les chaînons manquent à l’appel.

    De fait, malgré tout son génie, l’homme n’a pas encore réussi à produire une seule nouvelle espèce. Il n’a fait que des races de vaches, de chevaux ou de chiens.

    Si le concept de "sélection naturelle" était un principe scientifique, il aurait guidé l’humanité vers la possibilité de créer de nouvelles espèces. Or, il ne l’a pas fait en 150 ans d’existence de la théorie. C’est donc que ce principe n’est pas scientifique.

    Le Darwinisme, c’est une mythologie, issue des élites de l’empire Britannique, pour justifier une politique promouvant la guerre incessante de tous contre tous.

    Le Darwinisme prétend que sur des milliards d’années, par des hasards extraordinaires,... mais ça, c’est irréfutable, c’est imaginaire, ce n’est donc pas scientifique. Quant à des réalisations concrètes issues de cette théorie, on risque d’attendre très longtemps..



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    ffi 25 mai 16:30

    Si tu définis Dieu, c’est donc pour toi un bricolage imaginaire.

    La démarche expérimentale consiste à considérer les témoignages de ses manifestations. La théorie doit se confronter à l’expérience.

    Tu vois trop belle la science moderne. Elle est rapidement devenue confuse. Les termes y sont de plus en plus mal définis. Elle s’est à peu près figée depuis les années 30.

    Tu citais le Darwinisme et la sélection naturelle. Mais un tel paradigme est trop confus et évanescent pour aboutir à quelque découverte scientifique que ce soit. D’ailleurs il n’en a pas produit. Ses réalisations se bornent à renouveler la manière de faire les arbres phylogénétiques, ou à promouvoir des idéologies racistes, eugénistes et transhumanisme. De plus, il est indémontrable.



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    ffi 23 mai 21:53

    Gollum Retour sur l’absurde. Tu me dis que la science se doit d’être toujours mouvante. Mais il ne faut pas oublier qu’elle est faite par des hommes. Or, les hommes adoptent, au long de leur vie, des schémas intellectuels qui s’enracinent et se figent progressivement, la plasticité neuronale allant décroissant.

    L’histoire des sciences ne montre pas un mouvement continu, mais un progrès par à coup.

    Le côté figé de la religion Oui, il y a un coté cyclique dans le rite, comme pour une discipline d’existence. Cependant, si je m’en réfère au modèle de Leibniz, Dieu contient à la fois les vérités nécessaires, qui sont l’objet interne de son entendement, et qui se traduisent par des lois figées et intemporelles (les lois physiques, que l’on peut déterminer par l’intelligence et l’expérience), mais également les vérités contingentes, qui dépendent de sa volonté (et obéit au choix du meilleur).

    La volonté divine étant par définition inconnue, et changeante au gré des circonstances, il est impossible de penser le christianisme comme chose figée, puisqu’il contraint à rester sans cesse à l’écoute des circonstances, lesquelles sont nos seuls indices quant à la volonté divine.

    C’est ce qui prévient d’agir aveuglément sous l’emprise d’une raison figée et mécanique.

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