Aujourd’hui nous pouvons constater ceci : la souplesse de la politique d’occupation allemande permettait, à la fin de la guerre encore, une politique culturelle d’ouverture. Il était permis à Paris de jouer des pièces de Jean-Paul Sartre ou d’écouter Juliette Gréco
Hessel a du bugger sur ce coup, je crois. Greco est né en 1928, son premier disque date de 1950 et elle n’a probablement commencé à chanter dans les caves de Saint-Germain-des-Prés qu’à partir de 1945 (donc Paris était déjà libéré depuis plusieurs mois). Aurait-t-elle chanté avant que je doute fort qu’elle ait connu alors une notoriété qui aurait incité l’occupant à statuer sur le fait de savoir si on avait le droit ou non d’écouter Juliette Gréco.