La véritable question qui se pose maintenant c’est de savoir où sont passés les huit millions d’euros de surfacturation ? Dans quelles poches ont-ils atteris ?
J’attends une réponse. Mais je doute qu’elle vienne, car ce pays est incapable de sortir de ses démons. La vieille garde médiatico-politique-judiciaire sera solidaire pour empêcher toute vérité sur ce dossier. La pourriture continuera à gangrener ce milieu infect au détriment de la France, peut-être même jusqu’à son anéantisement final.