Non Lisa, je ne veux pas voir...Mais, toucher, caresser, effleurer, embrasser ma Nana, et lui dire :
"L’aulique des courbes de tes seins, à travers ta blanche robe, de leurs
pointes tendues me transpercent le cœur. Me donnant ainsi dans cette
foule bigarrée et bruyante qui nous entoure, l’immarcescible envie de me
réfugier dans notre chacunière. Et dans mes bras tremblants d’émotion,
allongée nue sur l’épais tarta, de nos voyages des régions lointaines.
Éclairée des flammes ondulantes de la cheminée. Tu ne pourras résister à
la volition qui me hante de te faire l’amour. Parce que je t’aime,
comme aucun homme n’a aimé une femme."
Pour cela, je n’ai nul besoin de grosses lunettes.