@Jean Qirigole :
Alors ? Tu l’as toujours pas lu « La conjuration antichrétienne » de Mgr
Henri Delassus ? Il me semble que nous avions eu un échange sur le
sujet dans les conseils de lecture de Soral...
Je ne me rappelle pas, ça ne me dit rien. Déjà il me semble qu’anticlérical ? antichrétien, car ça vise l’Église catholique romaine, je me trompe ? Or, sans remettre en cause la sincérité de ses membres, cette église est trop déviante par rapport au christianisme pour que je m’apitoie particulièrement sur son sort. Mais je suis ravi d’en entendre du bien aussi.
Il est probable que pour des cerveaux formatés par la doxa républicaine depuis des décennies, la
fabrique en série d’athées jouisseurs, « libre-penseurs »,
consommateurs, en osmose avec la nouvelle religion de l’argent, rien que le titre constitue un repoussoir. Le pape Saint-Pie
X l’avait pourtant dit et écrit il y a cent ans (et d’autres avant lui), nous y
sommes ! Un troupeau de moutons que l’on mène à l’abattoir.
A chaque époque sa fausse religion pour perdre les hommes, les tenir en laisse... Je ne suis pas concerné par l’un ou l’autre. En tant que chrétien, ma source est la Bible plus que tout autre écrit humain, et encore en tenant compte du fait qu’elle ait été écrite et traduite par des humains également.
Sache que les vrais catholiques ont été les pionniers du combat contre
le N.O.M. Si tu adhère aux idées de l’UPR, il y a des points communs.
Faudrait préciser contre quelle conception du N.O.M. les catholiques ont lutté, parce que s’ils avaient pu imposer le leur je pense qu’ils ne s’en seraient pas privé. L’Église Catholique est une structure de pouvoir, de hiérarchie, totalement politique donc, avec son État (anciennement son empire), son armée, etc., rien à voir avec le christianisme et la foi. S’ils ont été pionniers, c’est peut-être parce qu’ils se disputaient le pouvoir ? Par contre je ne sais pas ce que tu appelles "les vrais catholiques", c’est quoi un vrai et un faux catholique ?
Et je n’aime pas trop ta formule sur l’UPR, je préfère dire que je suis d’accord avec beaucoup de leurs analyses et solutions, sans aller jusqu’à "adhérer aux idées" d’un mouvement, sans en définir les limites. Ce que j’aime chez l’UPR c’est justement l’absence de toute idéologie en arrière-plan (comme le catholicisme ou autre), c’est bête comme tout, problème => pourquoi ? traité => on peut changer ? non => on peut s’en débarrasser ? article 50 => ok go (+ tout un programme d’union sacrée qui me plait assez pour mettre d’accord un max de monde afin d’y arriver).