Rocard est sur la fin. Je ne lui donne pas plus de trois mois au vu de certains signes caractéristiques de décrépitude annonçant la fin du cycle vital.
Vu le pédigrée du bonhomme, je n’aimerai pas être à sa place au moment où le bilan aura été réalisé. Le diable va encore se réjouir en l’accueillant dans son antre tout feu, tout flamme.