Comme Zemmour, finalement j’en viendrais presque à regretter l’absence de DSK pendant ces élections. Cela aurait été un tel moment de vérité, la caricature des élites mondialisées se présentant face au peuple : c’était la claque assurée, et le PS aurait été obligé de faire quelque chose, de revoir radicalement sa ligne, ou alors il était condamné à s’enfoncer encore un peu plus. Tandis que là, avec Hollande ou Aubry, ils pourront encore faire illusion... La question est : pendant combien de temps ?